C’est en vente seulement au marché
Il n’y a pas qu’au marché où l’on peut s’approvisionner d’aliments d’ici. IGA, Provigo, Maxi et Walmart ont mis en place des initiatives pour offrir plus de produits du Québec. Par exemple, chez Metro, on compte près de 1 000 produits frais et transformés provenant de 150 fournisseurs sur les tablettes de leurs magasins dans plusieurs régions du Québec.
Ça coûte plus cher
En comparant les prix et cherchant les rabais, il est possible d’acheter local sans casser son petit cochon. Les aliments québécois sont souvent en vedette les supermarchés traditionnels. Il suffit de regarder vos circulaires hebdomadairement et de repérer les logos Aliments du Québec et Aliments préparés au Québec.
C’est juste pour les granos
Bien que les adeptes du mouvement écologique aient toujours privilégié l’achat local, il est faux de croire que ce mouvement n’appartient qu’à eux. Selon une étude réalisée par l’École des sciences de la gestion de l’UQAM, plus de 66 % des consommateurs québécois favorisent cette habitude de consommation par souci de l’environnement. Alors, pas besoin de se catégoriser « grano » pour acheter québécois!
C’est offert uniquement l’été
Il est vrai que les températures chaudes sont plus clémentes pour les producteurs. Connaissez-vous la production en serre? Plusieurs aliments tels que la tomate, le poivron et les fines herbes peuvent être cultivés en serre été comme hiver.
Ça se résume aux fruits et légumes
Trop souvent, on associe manger local aux fruits et légumes alors qu’il existe une tonne de produits sur les tablettes des épiceries offerts par des producteurs et transformateurs québécois. Encore une fois, le logo Aliments préparé au Québec est une source fiable pour la vérification de la provenance de vos achats.
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