Une année sans alcool

03 Fév 2021 par Chantal Tellier
Catégories : Psycho
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Je disais dans mon dernier article que je souhaitais «laisser venir les choses». Mais pour laisser venir les choses, il faut aussi en laisser partir. C’est ce que j’ai fait : j’ai cessé de boire de l’alcool durant un an.

Pas de panique! Je ne me suis pas transformée en soberista prosélyte, convaincue que la seule façon de vivre une vie pleine et épanouissante est de dire adieu à la dive bouteille. La preuve? Le 1er janvier dernier, je ne me suis pas fait prier pour trinquer à la nouvelle année, après 365 jours sans boire une goutte d’alcool.

Oui, oui, 365 jours. Si quelqu’un m’avait dit que je serais capable de me priver d’alcool toute une année, je ne l’aurais pas cru. Et à en juger par les exclamations admiratives des gens qui m’entourent quand je leur ai annoncé que je faisais une croix sur le vin pour un an, je ne semble pas être la seule à entretenir une relation ambiguë avec l’alcool. Beaucoup m’ont dit à l’époque qu’ils seraient incapables d’arrêter ne serait-ce qu’une semaine. Je les comprends: j’étais pareille.

On aura compris que si j’ai décidé de me priver de vin durant un an, ce n’est pas parce que je buvais un verre à l’occasion. En fait, c’est plutôt que toutes les occasions étaient bonnes pour boire: une journée difficile au bureau… ou une bonne journée, une chicane avec mon chum… ou une chouette sortie avec lui, une rencontre avec des amis… ou une soirée seule avec un bon roman. Je buvais pour me détendre, parce que je le méritais, parce que j’en avais envie, parce qu’on était vendredi, parce que j’étais fatiguée, parce que j’étais d’humeur festive. Je buvais pour remplir un vide, je buvais pour déverser un trop-plein.

Et comme je suis plutôt, euh, intense (disons-le comme ça), je ne me contentais pas d’un verre de rouge ou deux. En fait, je crois que la SAQ a frôlé la faillite durant mon année d’abstinence. Je plaisante! Mais disons que mon compte en banque, lui, était moins dans le rouge.

Sortir du brouillard

Je voyais bien que j’avais un problème. Mais je me disais que ce n’était pas si pire que ça. Je ne buvais qu’en soirée. Il m’arrivait même de sauter un soir de temps en temps – après avoir bu une bouteille la veille… (Remarquez, ça avait de bons côtés. Je redécouvre des séries DVD que j’ai déjà vues mais dont j’ai oublié des bouts pour cause de trop de vino!)

Je me disais que je ne causais de tort à personne d’autre qu’à moi, puisque l’alcool ne me rendait pas agressive (à part envers mon ex, mais bon, ça ne compte pas: un verre d’eau aurait suffi à me rendre agressive envers lui). Je me disais que je ne risquais pas de causer d’accident sur la route, puisque je ne conduisais pas, etc. Toutes les raisons étaient bonnes pour ne pas arrêter. Bref, j’étais dans le déni. Et ma vie n’allait nulle part.

Pas facile de cultiver des projets et de se livrer à des passe-temps agréables (collectionner les blackouts n’en fait pas partie…) quand on passe l’essentiel de ses soirées dans sa causeuse à boire du vin.

Et s’il n’y avait eu que ça. Mais il y avait aussi toutes ces nuits à mal dormir, tous ces réveils à être dans le brouillard, et surtout à me sentir honteuse et coupable. J’étais profondément malheureuse. Il fallait que ça s’arrête.

Ça s’est arrêté.

Une compulsion à la fois

Est-ce que ce fut difficile? À mon grand étonnement, force m’est d’avouer que non. J’étais vraiment décidée. Et puis, le fait d’arrêter de fumer en même temps (tant qu’à y être!) a facilité les choses.

Ma vie a-t-elle changé du tout au tout durant cette année? Au risque d’en décevoir plusieurs, la réponse est non. Il faut dire que je ne suis pas seulement intense, je suis aussi, comment dire, un peu compulsive. Je me suis donc mise à pratiquer le grignotage intensif. J’ai mangé mes émotions au lieu de les fumer ou de les boire. J’ai pris sept kilos. (Maudite intensité!)

Ma vie n’a donc pas effectué de virage à 180o, puisque j’ai changé une compulsion pour une autre. Mais, mais, mais… j’ai pris conscience de ce pattern, et je suis désormais capable d’y faire face, une compulsion à la fois. Avant, l’idée de perdre sept kilos m’aurait totalement paralysée. Après une année sans boire, je sais désormais que je peux y arriver. Je n’ai aucun doute à ce sujet. Et ce n’est qu’un exemple.

La modération a bien meilleur goût

J’ai appris durant cette année que j’étais forte. J’ai appris que tout partait de moi. Que je pouvais consulter tous les thérapeutes de la Terre, tant que je n’avais pas, moi, pris une décision, rien ne bougerait. Mais une fois la décision prise, just watch me! Et ça, ça me procure un immense sentiment de fierté.

J’ai la nette impression que je vais, tout au long des mois qui viennent, récolter les fruits de cette année sans alcool. Et que la récolte sera abondante. Je vous tiens au courant.

Et oui, j’ai réintroduit l’alcool dans ma vie. Un choix pleinement assumé. La différence est là: il s’agit d’un choix. Et la modération a vraiment meilleur goût: je peux jouir de tous les plaisirs du vin sans aucun des inconvénients. Le bonheur!

Et vous, votre relation à l’alcool vous cause-t-elle un problème?

 

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Photo principale : Daniel von Appen Unsplash



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  1. Bara dit :

    Bravo Vero de mon cote deja 5 mois d arrêt a l alcool pour cause des ennuies de sante , une fatigue journali, les émotions des haut et des bats , me mettre en danger en voiture bref ma décision a été prise tout stopper pour gérer ma vie au mieux et trouver une sereinite quotidienne sans un besoin ridicule au finale .. conclusion je me sens beaucoup mieux perdu 7 kg , meilleur sante , humeur plus stable un peu déprimée qd même mais bon un thérapeute me suit pour résoudre les problématiques et je prends du millepertuis bon courage a tous vous ne regretterez en rien de faire le choix radical 😊

  2. Helene dit :

    Bravo ,moi cest le vin aussi je ne bois pas tout les jours mais du jeudi au dimanche
    Et j’ai vraiment de la difficultés à compter mes verre de vins je m’évertue dis je vais en prendre 2ou 3 mais je vide la bouteille
    Bien attendue durant la nuit je dors très mal et me sens coupable
    Je ne veut pas arrêter complètement
    Mais j’aimerais tellement me contrôler
    Toi depuis que le vin est revenu dans ta vie esceque tu a de la misère à contrôler tes nombres de verre ?
    Cela est ma question et si tu a des truc a me donner !
    Merci

  3. Rachid dit :

    Bravo ! traiter une addiction n est pas une chose facile , tout dépend du degré d’identification que l’on y met. Personnelement ma relation avec l’alcool est devenue toxique . au bout du 2 ieme jour de sevrage , d enormes douleurs dans le dos , je me suis regardé dans un miroir et me suis , juste meurs mais jamais plus . j ai pris un doliprane et je depuis j ai plus eu aucun soucis . cela fait 4 ans que je suis redevenu comme avant le moi sans alcool , enfin ! ares tant d années . La meilleure décision de ma vie. je côtoie l alcool sans problème et il m est même arriver d en boire une gorgée par inadvertance récemment. Peu importe seule l attitude ferme compte et cela chacun en soi peut le sentir du fond , mais vraiment du fond de son ame.
    Bon courage a toutes et a tous .

  4. Alain dit :

    Je suis au 74 ème jour sans alcool et je me reconnais dans votre témoignage.En effet ma consommation était égale à la vôtre mais une petite voix commençait à se faire entendre en moi et la décision s’est imposée en moi sans réflexion préalable quand je suis tombé sur une vidéo témoignage d’un jeune homme relatant son année d abstinence et l évidence s’est imposée. Et la surprise c’est facile,mas de tremblement,pas d effet de manque,des envies quelques fois ,mais rien de méchant.Ma grande déception ,rien n’ a changé dans ma vie. Je n en tire aucune fierté à l exemption de mon encours CB ..Je ne suis pas abstinent après une année blanche j’ espère , comme vous, avoir une consommation choisie et raisonnable

  5. Cindy dit :

    Bonjour,
    Je tombe sur votre article car j’ai également pris cette initiative. Comme quoi tout est possible lorsqu’on s’en donne les moyens.
    Personnellement j’en suis à 10 mois d’abstinence, et je compte bien continuer ce mode de vie.
    Quel changement, et quelle fierté de se dire que l’on peut affronter les pépins de la vie sans se détruire.
    Alors, les cônes chocolat/pistache… n’en parlons pas! D’autant plus que j’ai aussi arrêté de fumer.
    Ce qui reste le plus fort et c’est ce que je dis autour de moi,, c’est de retrouver et de faire de sa passion sa nouvelle addiction.
    La mienne, l’illustration.
    Et je revis.
    Bravo pour votre initiative et votre persévérance !

  6. Nico dit :

    Mince, quel dommage! Retomber dans l’alcool après un an à vivre mieux sans… Si tu arrives à une consommation à une à deux fois par mois, ça m’impressionne, puisque le propre de cette drogue (de toute drogue en fait) c’est de t’amener à en reconsommer toujours plus…

  7. Josee dit :

    Tout comme toi je n’aimais pas ma relation avec l’alcool. Tout a commencé avec le défi 28 jours je ne croyais pas que j’y arriverais. Cependant après une semaine il y a eu un pépin au bureau et en arrivant à la maison tout ce que j’avais envie c’était un verre de vin. Ça m’a complètement bouleversé . Je me suis au grand dieu non c’est pas vrai que mes émotions vont me faire boire. Alors voilà je poursuis toujours j’en suis à mon 88 e jours. Il n’est pas dit que je vais pas reboire au contraire mais quand ça va arrivé ce sera différent . Pour le moment je ne suis pas prête.

  8. madani dit :

    Bonjour
    Je m’appelle véronique et aujourd’hui je fête mes 1 an d’abstinence et quelle ne fut pas ma surprise de tomber sur cet article un signe une coïncidence une prise de conscience je ne sais pas tout se bouscule dans ma tête
    En tout cas sachez que vous pouvez être fier de réussir à vous passer de cette drogue licite
    Bonne journée à tous

  9. Leriche dit :

    Bientôt un an sans alcool, le 23 janvier cela fera un an. Et je ne suis pas prête de retoucher à cette drogue dure autorisée. On vit bcp mieux sans.

  10. Alexandre dit :

    Pendant trois ans, me rendant compte de mon problème d’alcool, j’ai fait des périodes d’abstinence dans le but de ne plus jamais boire. Elles ne duraient que 2 ou 3 mois maximum puis c’était la rechute. J’avais à l’esprit : « je ne peux malheureusement plus boire ». Après une dernière rechute grave (oui, à chaque rechute les quantités d’alcool ingérées sont plus importantes) et être passé par l’hôpital me sentant très très mal, là j’ai changé ma façon de penser grâce aux réunions AA et suivi avec psychologue addictologue. Maintenant ce n’est pas « je ne peux plus boire » mais « je ne VEUX plus boire », cela change beaucoup. Il faut que l’abstinence soit un plaisir, le fait de retrouver la santé, l’énergie, de voir son compte en banque remonter, d’avoir les félicitations de toutes part etc.. Mais ce que je ne savais pas c’est que l’alcool en dehors du fait qu’il détruit petit à petit tous vos organes, attaque particulièrement votre cerveau. J’ai fait un scanner et là j’ai vu les tâches présentes qui sont les parties disparues suite à l’alcool. L’abstinence permet de retrouver les fonctions neurologiques même si on ne récupère pas tout. Le neurologue m’expliquait avoir eu un patient, grand professeur universitaire, qui à 50 ans, suite à son alcoolisme avait perdu la moitié de son cerveau. Il ne savait même plus comment il s’appelait, il avait le syndrôme de KORSAKOFF (maladie grave de l’alcoolisme). Ce patient est mort peu de temps après. Alors, il n’y a pas photo et j’adore cette phrase : « L’ABSTINENCE M’APPORTE TOUT CE QUE L’ALCOOL M’AVAIT PROMIS » Bon cour

  11. Clemence dit :

    Bonjour, en vous lisant je me sens moins seule. Je bois depuis l’âge de 17ans. Pendant des années je cherchais uniquement les groupes d’amis qui pourraient supporter mes états sous emprise d’alcool puisque je me transforme littéralement. Je brise tout les codes et devient soit extrêmement provocante mais drôle soit agressive jusqu’à ce que je me brise et je fuie au point de me mettre en danger. Les années passent et les effets sont de plus en plus forts. Dans la vie normale, je suis l’opposée très gentille aimante sociable rigolote … les groupes sans codes aujourd’hui me font peurs et me font trop de mal je me suis donc rapproché de mes vrais amis avec qui ce genre de scène n’a jamais lieu mais il suffît dune fois où je suis invitée chez quelqu’un que je ne connais pas avec plein de « ok ne me connaît pas » pour que le dragon se réveille. Je ne bois pas seule chez moi je peux ne pas boire pendant plusieurs semaines et pourtant je suis incapable de refuser un verre en groupe comme si j’avais toujours existé par ce verre et comme si je perdais un bout de moi en assumant le fait que je ne veuille plus me transformer. Le lendemain je ne me souviens de rien on m’attribue des choses que j’ai faites on me les reproches mais je crois pouvoir dire aujourd’hui que ma réaction est tellement pleine de culpabilité que l’autre qui n’ai jamais tout rosé m’attribue aussi ses propres débordements ! Je n’en peux plus! Ce n’est pas moi ! Je veux que cette personne s’en aille et la seule solution c’est l’abstinence totale. Mais comment réapprendre à vivre avec un nouveau soi?

  12. Gilles dit :

    Hello à toutes et tous, petit buveur occasionnel pendant 20 ans, puis bon buveur, puis grand buveur, puis phases de saouleries permanentes, j’ai stoppé plusieurs fois sur des périodes de 2 à 12 semaines pendant 4 ans, et pensant gérer, j’ai reconsommé modérément et ensuite la consommation s’accélérait à nouveau.
    Donc c’est juste un témoignage, rien que le fait de l’analyser peut me redonner envie de boire un peu. Mais je sais que les récepteurs sont prêts à être réanimés et avec dynamisme.
    J’ai consulté un psychiatre qui m’avait dit qu’il n’était pas forcément pour le sevrage total, il m’avait dit si vous avez envie d’une bière, faites vous plaisir, mais une seule.
    Tous les autres interlocuteurs que j’ai rencontré penchent pour l’abstinence, en raison de nos fragilités. Voila voila, 14 semaines d’abstinence et je réfléchi encore à tout cela.
    Je ne fume plus depuis 20 ans alors que je fumais peu mais 4 à 5 cigarettes par jour, et à la fin, une le soir, et puis je me suis dit pourquoi une, autant rien, alors je vais me dire que pourquoi un verre, autant rien. Pour moi Véro prend un risque ( inutile) après un an d’abstinence. Le critère d’apprécier un bon verre de vin pour sa qualité et son goût, je l’ai exercé, et j’ai ensuite beaucoup et souvent eu recours à ce bon verre de bon vin, de ce très bon cognac, de cette excellent eau de vie etc…
    N’hésitez pas à vous faire aider, nous avons la chance en France d’avoir d’excellents interlocuteurs pour briser la dépendance.
    Et tiens lisez ou relisez « L’assommoir » de Zola ou (re) voyez « Gervaise », et plus récent et très authentique  » le dernier pour la route avec François Cluzet adapté du livre d’Hervé Chabalier ( écriture très juste ) : Impressionnant témoignage.
    Ah bah ça va mieux en le disant, je vais travailler la batterie pour mieux accompagner avec mes musicos amateurs. C’est tout vu !!

  13. Lydie dit :

    Bonjour,
    Je n’ai personnellement pas pris de résolution.
    Je n’ai depuis une semaine plus envie de boire de l’alcool.
    Je me surprend moi même.
    Je bois quotidiennement de la bière tout les soirs depuis plus d’un an et quelque fois la journée quand je ne travaille pas.
    Pourquoi je n’ai pas bu depuis une semaine ? Parce que ça me gave d’aller faire le plein de canettes et de voir les cadavres.
    Mais est-ce cela va durer ?

  14. Anne dit :

    Bonjour,
    Ce matin j’ai pris cette grande décision moi aussi ! Je viens de lire Vero et son témoignage me donne une motivation car tout ce qu’elle a écris et bien c’est exactement ma réalité !
    Je prie beaucoup car je crois que j’aurai besoins d’aide surtout que tout mon entourage aime bien prendre un verre ……
    Merci pour vos témoignages ça fait du bien 🙂

  15. Mumu60 dit :

    Bonjour, aujourd’hui 29 mars 2022 je fête ma 1ere année sans alcool et j’en suis fière. Malgré plusieurs cures je n’avais jamais atteint une si longue période d’abstinence.
    Je revis et mes proches aussi, c’est pas tous les jours faciles, quoique même quand je me dis qu’un verre me tente, je me dis aussi que je suis beaucoup mieux sans don sans hésiter c’est Sans alcool.
    La seule mauvaise chose c’est la prise de poids car plus d’appétit.
    J’espère que mon témoignage vous sera utile.

  16. Micha31 dit :

    Bonjour Nancy.
    Si un jour tu reprends un verre,tu prends un risque à 98% de chance de rechute .
    Dans les jours , dans les semaines ,dans les mois, dans les années qui viendront….
    Tu reviendras au point ou tu était il y a 8 jours.
    Notre cerveau est programmé pour les excès, il ne pourra plus jamais revenir à une gestion normale.
    Ce crawing reviendra peut-être que 2 ou 3 fois par an ( comme moi maintenant depuis des années)
    Je peux souvent avoir une consommation normale,apres des années de lutte.Mais il a toujours un jour ou l exces sera là ,cette fois ĺa ou quand les autres veulent arrêter, toi tu vas vouloir continuer. Quitte à finir la soirée tous seul dans la prochaine discothèque.
    Et la ,la conduite à risque commence, tu à déclenché la machine, elle ne s arrêtera qu’au petit matin à la fermeture de l établissement…
    Je pense que c est quasiment impossible de se débarrasser.de ce problème. J’ai toujours eu peur de l alcool et son emprise sur moi,donc tres tot,j ai commencé à essayer de la maîtriser.
    J’ai commencé mon 1er sevrage de 3 ans à l age de 23ans, j ‘en ai fait plusieurs dans ma vie,avec des périodes de reprises encourageantes, ( plusieurs années sans un excès, 5 ans avec une gestion de 3 verres maxi et de tant en temos.
    Et bien la rechute edt toujours revenue.
    Une période de stress important.,un problème familial ou alors une bonne nouvelle suffit à prendre le verre qu il ne fallait pas prendre, et la c est parti, on boit de plus en plus vite,chaque verre en appele un autre , jusqu’à la grosse cuite.
    Le matin au réveil, toujours la même culpabilité.
    J ai 50ans et je peux te dire qu qu’après presque 30ans de lutte, j en suis toujours au même point.
    Sauf qu au fil du temps, tu uses ta volonté.
    Tu te connais par coeur, pour ma part, je sais que je ne cesserai jamais ce combat donc je vie entre périodes d abstinences,de reprises et j essaye de gerer comme je peux sachant tres bien que la seule solution serait d arrêter pour le restant de ma vie.
    Je termine par le fait que dans ma vie,ce qui m a aidé le plus, cc est le sport que je pratique de manière assez intense depuis ma première période d abstinence, il y a 27 ans.
    Mais le sport est aussi une drogue dont je suis devenu dépendant, mais à la différence, c est qu il me procure énormément de plaisir ,avant, pendant et surtout après. ?
    Bonne chance à tous, Mickaël.

  17. Nancy dit :

    Bonjour,
    j’ai pris une décision au sujet de ma consommation d’alcool après une dispute complètement stupide avec mon chum un soir de brosse! Ça fait 8 jours seulement et en te lisant, tu me donnes toutes les raisons du monde de continuer dans cette direction. Je suis déjà plus sereine et j’ai carrément l’impression que mon corps est beaucoup moins sur les nerfs! Pourtant, en même temps, je vis une peine d’amour mais à jeun c’est vraiment différent. J’y pensais depuis un moment parce que le nombre de black out dans les dernières années s’est accumulé, les nuits à dormir sa corde à linge, les excuses à mon entourage pour mon agressivité…et j’en passe, tout ça m’a détruit la vie tranquillement. Je n’ai pas eu que des moments négatifs alors je sais très bien que je vais reprendre un verre un moment donné mais j’ai l’intention que ce soit dans un tout autre contexte et surtout que ça se fasse dans le plaisir!
    Merci pour ton texte…ça donne une belle poussée!
    Nancy

  18. Micha31 dit :

    Bonjour.
    À 50 ans Je me bats contre l l’alcool depuis 30 ans.
    Pas alcoolique chronique,mais quand je commence 1 fois sur 3 je ne vais pas m arrêter.
    Je peux vous garantir que j au essayé l abstinence totale,parfois pendant plus de 2 ans, j ai essayé 3 verres,pas plus! , j ai essayé le contrôle.
    Je suis même arrivé à croire que j étais guerri apres 5 années de contrôle sans une cuite…
    La rechute est toujours là .
    Encore ce week-end, j ai rechuté apres 6 mois d arrêt apres une cuite carabinée, ou j ai perdu mes papiers et fait piqué ma carte bleue.
    Quand j arrête, j apprécie tellement de ne plus avoir à me battre contre cette substance. Plus de gueule de bois.
    Mais au niveau social, les réveillons sont bien longs. Etre en vacances sur une terrasse avec votre copine qui boit un bon demi alors que vous,vous commandez une horrible bière sans alcool, au gout de vielle cervoise degazée.
    Se retrouver dans des repas ou vous devez vous justifier de ne pas consommer d d’alcool,
    Toutes ses raisons font que c est un problème vraiment difficile à régler.
    Ca aurait peut-être plus simple si j avais été lcoolique chronique ?
    Je n aurais peut-être moins tenter la solution du contrôle ?
    Tout ce que je veux dire par mon témoignage, c est que c est un énorme risque de tenter une consommation modérée. Moi je n y suis jamais arrivé, même en y ayant cru apres 5 ans de contrôle parfait .
    Aujourd’hui je reprends mon abstinence, on verra la suite.

  19. Pili dit :

    Cela fait 1 an et 2 mois que je ne bois plus d’alcool, le lendemain du réveillon de Noël 2020 j’avais aucun mais vraiment aucun souvenir de la soirée, il faut dire que ce genre des black out arrivaient de plus en plus souvent mais jamais un sur toute la soirée, c’est alors à ce moment-là que j’ai réalisé que quelque chose n’allait pas et qu’il fallait arrêter tout de suite la consommation d’alcool même si ces consommations n’étaient qu’en soirée.
    Les enchainements de quarantaines, couvre-feux et fermetures des bars m’ont beaucoup aidé dans cette décision, depuis j’ai pris 9 kilos, cette habitude de boire de l’alcool a été vite remplacée par les gâteaux et les friandises, moi qui n’aimait pas les choses sucrées.
    Maintenant j’arrive à mieux contrôler ce besoin de sucre, à me rendre compte que je peux passer des moments entre amis sans boire une seule goute d’alcool et de faire la fête comme avant jusqu’au petit matin avec le grand avantage de ne plus me réveiller avec une gueule de bois ni des regrets.
    En ce qui concerne la question si apprendre à le contrôler et le reprendre doucement pour moi c’est un non radical car je sais qu’après le premier verre je n’ai plus aucun contrôle et ce n’est pas faute d’avoir essayé.

  20. Helbronner dit :

    Bonjour,

    Je suis toujours attentive à ce partage d’expérience. Pour ma part, je suis une femme de 60 ans et j’ai eu une vie plutôt chargée au niveau alcool ponctuée d’arrêts et de rechutes. Alcool festif, alcool « pansement » lors des coups durs de la vie, alcool « réconfort », alcool heureux, alcool malheureux, alcool « créatif » pour me débrider les idées dans ma vie professionelle… J’ai conçu les plus belles campagnes de pub pour mes clients complètement alcoolisée… 🙂

    Il y a deux ans, après deux années heureuses sans la moindre goutte d’alcool, je me sentais tellement bien que je me suis autorisée un verre de vin Rosé en apéritif à la terrasse d’un restaurant sous le soleil de la Côte d’Azur où je vis… Instant qui confinait au divin mais bizarre sensation d’un plaisir qui ne « valait pas vraiment le coup », dont je pouvais sans peine me passer, qui ne m’apportait à peine plus qu’un cocktail sans alcool finalement… et ma petite voix qui me dit : « mais qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi tu fais ça ? »…

    Hélas… La semaine suivante, en faisant mes courses, j’ai une envie soudaine autant qu’irrépressible de Whisky japonais (l’un de mes péchés pas vraiment « mignons »)… Suffisamment cher pour un plaisir solitaire haut de game à savourer comme un produit d’exception… mais jusqu’au fond de la bouteille qui fut terminée en à peine un week-end…

    Et… Je n’ai plus levé le nez de la bouteille jusqu’à Septembre dernier… Soit près de deux années d’alcoolisation à haute, voire très haute dose… me créant pour la première fois de vrais problèmes de vie et surtout… de santé !

    Si je continuais à ce rythme-là (2 à 3 bouteilles/jour), avec une consommation dès le réveil, j’allais en crever ! Mon corps commençait à me faire souffrir et mes analyses de sang étaient alarmantes.

    Etant excessive en tout… J’ai de nouveau arrêté. Brutalement. Du jour au lendemain… en ayant marre de voir ma tronche dans la glace, ne supportant même plus mon regard tout en fuyant celui des autres, dévastée par ma déchéance et la honte de moi.

    Me voici donc depuis 7 mois totalement « hors alcool » et je le vis très bien sans aucun craving. Dans un autre registre, j’ai arrêté de fumer également du jour au lendemain… Il y a 27 ans ! (Alors que je fumais un à un paquet et demi de Marlboro/jour depuis mes 16 ans).

    L’excès en tout me caractérise. C’est le « tout ou rien » en permanence dans tous les actes de ma vie. Je pense que c’est le processus commun à tous les addicts quel que soit le produit.

    Il faut dire aussi que « non vaccinée », j’ai été tenue à l’écart des terrasses des cafés/restaurants particulièrement attractives dans la région où j’habite et je sais combien il va me falloir être très vigilante dès la mi-mars…

    … Car je sais que si je replonge, cela pourrait bien être l’ultime fois avant de me retrouver entre 4 planches.

    Mais une chose est sûre : je suis bien mieux dans ma vie sans alcool !

  21. Mikaele dit :

    J’ai décidé qu’en 2022 je dois apprendre à boire avec modération. Je vis seule et le week-end je bois une bouteille par soir. Je me retiens la semaine mais c’est parfois difficile et je ne réussi pas tout le temps. L’été c’est particulièrement difficile et disons que la pandémie m’a rendue très déprimée. Mais bon j’ai une mission pour cette année sinon je devrai arrêter. Il y a une application appelée Reframe pour celui/celle qui veut arrêter/ prendre une pause ou consommer avec modération. C’est parti, je dois gagner cette bataille pour mon bien être.

  22. Paul dit :

    Simplement, voyez si avec le temps votre quantité nécéssaire et votre désir de boire augmente à nouveau. Chaque personne vit sa situation et sa relation avec l’alcool à sa façon. J’étais un buveur abusif avec un pas dans l’alcoolisme, Athlète, succès dans tout, jeunesse heureuse, vie de famille et de couple sans grand problème, etc. Le 15 août dernier j’ai décidé de complètement mettre l’alcool hors de ma vie. Que de grands bénéfices à date. Mais c’est encore difficile, car le besoin y est souvent présent à partir de 16:00-craving du 5@7! Explication très claire que je suis dépendant. Même si je souhaiterais pouvoir revivre l’exaltation du feeling de l’alcool, je sais que je dois m’en abstenir è vie, pour mon bien-être général…

    Merci de votre témoignage qui porte à un autre niveau de réflexion…

    Paul

  23. Marilyn dit :

    La lecture de cet article me donne envie de recommencer à boire, après 8 mois de sobriété. Une chance que je me rappelle que de boire modérément, je n’en suis pas capable même si j’ai les meilleures intentions, même si je suis sure d’être capable, même si je suis capable 1 semaine, 1 mois, 1 an, ca finira comme ca fini, la dernière fois.

  24. Danielle dit :

    Je vie et j’ai vécu tout ce qui est écrit ici
    Mais très difficile aujourd’hui de mettre un stop à la consommation…. J’ai 58 ans ça peut paraître vieux mais malgré tout les abus , On m’en donne souvent 45 par contre a l’intérieur je crois souvent 80 ans. Je vie dans l’abondance et je ne sais plus comment faire pour que demain soit un jour heureux ?

  25. JusteMoi dit :

    Bonjour,

    « Je peux jouir de tous les plaisirs du vin sans aucun des inconvénients. » Non. Impossible. L’alcool est une substance qui déshydrate au minimum, intoxique la plupart du temps, et peut causer la mort à forte dose. Il y a toujours des inconvénients à boire du vin, même avec modération. Cet article me semble plutôt un exemple de déni que de réussite. J’espère que vous avez réussi à progresser à nouveau vers la sobriété après la rédaction de cet article. Une suite serait peut-être à propos pour aider les personnes aux prises avec un problème de dépendance qui sont également dans le déni?

  26. Sommellette dit :

    Bonsoir,

    8 mois à ce jour abstinent envers l’alcool.
    Je me sens plein d’énergie et mieux dans ma tête.

  27. blue dit :

    « Et oui, j’ai réintroduit l’alcool dans ma vie. Un choix pleinement assumé. La différence est là: il s’agit d’un choix. Et la modération a vraiment meilleur goût: je peux jouir de tous les plaisirs du vin sans aucun des inconvénients. Le bonheur! »

    ENCORE DANS LE DENI ? pffffffffffff

  28. Crystal dit :

    L’alcoolisme n’est que la pointe de l’iceberg, le problème est beaucoup plus profond. Lorsqu’on possède une personnalité dépendante, on s’accroche excessivement à tout ce qui peut nous procurer un bonheur éphémère illusoire ou réel, le succès, l’argent, la sexualité, l’alcool, l’affection, l’approbation, notre partenaire amoureux, nos enfants, les réseaux sociaux, la pornographie, le cinéma, le jeu, la nourriture, tout les éléments de notre vie sont ainsi déséquilibrés par notre tendance dépendante. Ce qui cache une détresse psychologique, un vide intérieur qu’aucun plaisir ne peut combler. Notre insatisfaction devant la vie revient nous hanter. Nous réclamons d’avantage de ses petites satisfactions déraisonnables qui nous laisse amère et honteux. Le problème c’est que nous avons perdu de vu l’essentiel, notre spiritualité, le sens du sacré, l’élévation de notre esprit au delà de la matière, la méditation, la prière, la solidarité, le service, notre santé émotionnelle, physique et psychologique. Le bonheur réside dans le simple fait d’être. Lorsque nous ressentons une connexion avec notre puissance supérieure telle que chacun est libre de le concevoir, le mal de vivre disparaît pour laisser place à la joie, nous cultivons nos qualités morales plutôt que notre égo. Nous nous sentons énergique et utile. Nous n’avons plus besoin de l’ivresse, de la gourmandise…pour remplir notre vide et fuir notre réalité. Nous sommes heureux de vivre avec l’esprit clair et lucide, dans l’acceptation et la sérénité devant les épreuves. Il faut incarner le changement que nous voulons voir apparaître dans le monde. Renoncer à la violence, à la faiblesse, à la recherche de plaisirs malsains. Nous ne pouvons profiter de la vie que sans nous détruire ou faire tord à d’autres. L’alcool est un poison qui peut conduire à la folie, à la prison ou à la mort. Les dommages au cerveau sont souvent irréversibles. Méfiez vous de cette vilaine habitude de consommer. L’abstinence totale est fortement recommandée si vous pensez avoir un problème avec l’alcool. On peut manger un bon repas sans vin, on peut danser sans boire, on peut faire l’amour encore mieux sans la boisson. La vie continue et sera plus extraordinaire quand vous aurez abandonné votre substance destructrice.

  29. Gérard dit :

    Hello à toutes et tous. 65 ans alcoolique depuis mon plus jeune âge. Je vais fêter demain mon troisième mois sans alcool. Les pires moments vécus face à mon abstinence sont ceux passés entre amis, devant de bonnes bouteilles débouchées. J’ai déja été abstinent durant neuf mois, et paf un verre deux verres et la rechute en très peu de temps. Je me demande si je vais rester abstinent tout le reste de ma vie, ou retenter une approche raisonable de l’alcool … J’ai peur de rechuter

  30. Anny dit :

    Boire pour toutes les raisons.

    Un jour, le vide et une tentative de suicide sen suit.

    Je me revoi à l’hôpital la psychiatre qui ma dit une phrase. Cette phrase a changé ma vie elle apportait un sens à un non sens.

    D’une douceur, toute belle et jeune elle me dit Vous prenez déjà depuis un bout de temps des médicaments pour la dépression. Ces médicaments avec la boisson ont pour effet de faire une goutte dans l’océan.

    Elle restera gravé à jamais en moi.

    Depuis maintenant 7 mois de sobriété où encore certaines journées le goût y est encore.

    Je dois faire le deuil d’une vie sans verre de vin au souper entre amis au restaurant.

    Ce deuil n’est pas encore fait.

    Un jour, ce sera plus calme dans ma tête et mes pores de peau.

    Je suis très fière et je vais vraiment bien. Au top de ma santé mentale.

    Ne plus ressentir la dépression ça cest mon cadeau que je m’offre.

    À tout ceux qui mettent un délai, un an d’arrêt, un mois. Maintenant si je vous dis que cest pour la vie. Quelle serait votre état d’âme???

  31. Sophie phaude dit :

    A tous ceux qui sont fatigués des effets néfastes de l.alcool, je suggère très fortement le livre de Annie Grâce: The naked mind et ensuite lire The alcool experiment. Ça a change ma vie pour le mieux. Un3 vie sans alcool ça peut être beaucoup mieux que vous le croyez. Je n’ai jamais eu autant d’énergie et aussi bien dormi de ma vie!

  32. Simon dit :

    J’ai lu votre article et il me laisse perplexe. J’ai un certain temps d’abstinence totale maintenant et j’ai du m’y résigner après plusieurs épisodes de « modération ». Vos habitudes de consommation démontrent tout les symptômes de l’alcoolisme. Féicitations pour votre année d’abstinence. C’est un exploit en soi, mon expérience personelle m’a démontrée que la modération qui s’en suit n’est que temporaire.. ce n’est peut-être pas votre cas. Quoi qu’il en soit la consommation excessive d’alcool découle souvent de blessures plus profondes. Il existe de l’aide, la vie sans alcool peut paraître plate et impossible, mais selon moi, elle a bien meilleur goût.

  33. Patrick dit :

    Bonjour,

    Il y a des gens qui confondent l’article de Chantal Tellier avec Véro, si elle avait écrit cette article en 2014 le Québec en aurait parlé sur toutes les tribunes!!

  34. RC dit :

    C’est cool tous vos commentaires, tous très vrais et témoignant de votre réalité. Mais est-ce que Véro a répondu quoique ce soit ? En tous cas je ne vois rien. Preuve est-elle que cette page n’est que du marketing ? La question es posée.

  35. Sylvie dit :

    Moi j’ai 60 ans aujourd’hui et ça fait longtemps que je veux cesser de boire du vin. L’article de Véro et bien, ça pourrait être moi qui l’ai écrit tellement je vis la même situation. Je suis à la limite de ce que je peux endurer. Ce matin, jour de fête, je suis étourdie, fatiguée, et je regrette d’avoir trop bu hier soir. Tous les matins, je me dis que c’est la dernière fois que je bois autant mais le soir, c’est le Happy Hour qui m’interpelle. Vivant seule chez mes parents âgés, je vis difficilement ma solitude malgré mes 3 enfants et 6 petits-enfants que je vois toutes les semaines. Je veux dorénavant faire les bons choix et le vin n’en fait pas partie! Je souhaite trouver le courage de cesser ma consommation excessive de vin. Je prie pour que ça cesse!!!! Merci Véro pour ce bel article.

  36. Marjorie dit :

    Bonjour,

    Je souhaitais te féliciter. C’est un beau challenge qui m’encourage à faire de même.
    J’ai 24 ans et je me rends compte que ma génération a un vraiment un problème avec l’alcool, on sort beaucoup, on se met des bitures de dingue tous les week-ends… Nous sommes incapables de faire une soirée sans boire (beaucoup) et pire, si tu essaies de faire une soirée sans alcool, on te prend la tête.
    Je commence à prendre conscience que nos modes de vie vont avoir (ont) des effets néfastes sur notre santé. Le week-end dernier, j’ai essayé, pour la première fois de ma vie, de contrôler ma consommation d’alcool. J’ai bu 5 verres en 8h de soirée, sous moins d’un verre par heure. J’étais très fière de moi.

    Maintenant, je souhaite arrêter complètement et adopter un mode de vie sain. Je te remercie pour ce témoignage qui m’a beaucoup aidé et m’a vraiment encouragé à prendre cette décision.

    Bonne continuation à toi,

    Marjorie

  37. Pat dit :

    J’ai aussi essayer cette technique.. la moderation (pour moi) fait sont temps… Au fetes j’ai eu le plaisir de lire ‘de l’alcoolisme a la serinite’ Jacque T. Wow! Ca changer ma vie! Dans les premieres pages il explique très bien ce phenomene d’abstinence! Ceci dit je suis très contente pour ceux que ca fonctionne..

  38. ron rowe dit :

    bon aujourd’hui le 2 août ça fait 50 ans sans alchool tout est possible dans la vie…

  39. Mara dit :

    Cela va faire 39 ans le 15 septembre que je ne consomme plus. J’ai vécu tous ce que vous écrivez dans votre texte. J’ai essayée aussi d’arrêter de boire durant 1 an. Ce que j’ai réussie avec grand plaisir. J’ai fêter ça et j’ai bu encore et encore incapable de m’arrêter. J’ai dû faire le choix difficile d’arrêter toutes consommations… Alcool et tous substituts. Nous ne sommes pas parfait. Mais je suis contente de ne plus consommer d’alcool. Je vis entièrement ma journée car j’ai un mode de vie. Je suis toujours fragile, je suis vigilante, je ne veux pas retomber dans ses états qui me rendait malade. Merci la vie est belle fantastique et j’en profite…………….

  40. Moi-Même dit :

    C’est très intéressant votre texte. Cependant je vous dirais que si on a une dépendance psychologique à une substance il faut être prudent lorsque l’on recommence en pensant que l’on contrôle tout. Personnellement vous avez très bien décrit ma situation elle ressemble beaucoup à la votre. Je dirais que le pire c »est cet éternel petit brouillard qui nous accompagne constamment. Mais il y à aussi une impression de masquage. Comme si le vrai problème on ne souhaite pas le voir. en tout cas il est souvent très intéressant de rentrer des bonnes habitudes dans sa vie comme le sport, le plein air le yoga etc etc. Plutôt que de constamment sortir des mauvaises. quand on découvre des activités que l’on aime c’est plus facile e réajuster les moins bonnes.

  41. Gigi dit :

    Bonjour ,j’ai 54ans ,j’ai commencé à boire un peu à 16 ans,j’ai bosse comme barman. a44ansj’ai fait une année sans alcool,c’était une super année , le plus difficile c’est les autres qui ne tolèrent pas que vous soyez à la flotte,et puis j’ai repris de plus belle de 2 a5bouteilles de vin par jours ,ou dès journée wyskie.au 1er janvier 2017 je refais mon année sans alcool,eh bien je peut dire que je suis bien imbibé,heureusement ma volonté est forte ,je n’ai pas envie d’alcool,mais physiquement c’est la découverte ,maux de tête ,impression d’être ivre au réveil,palpitations,sueurs ,acouphènes les 10 premiers jours environ j’ai encore quelques effets ,mais le plus désagréable est passé (je Pense)les bons effets commence à se faire sentir,une immense satisfaction,la liberté d’aller et venir ,mon organisme qui va mieux,un meilleur sommeil,des envies de vivre qui étaient enfouies,du bonheur simplement,en conclusion je me rend compte que ce geste facile de tous les jours s’installe dans chaque partie de nous ,et fait son œuvre tranquillement ,voilà ma petite histoire ,si vous sentez que c’est le moment n’hésitez pas ,

  42. Mimi dit :

    Bonjour…
    Hé bien moi qui buvait vin… bière à tous les jours depuis presque 40 ans…(j’en ai 65)
    Boire parceque je suis heureuse..ou malheureusement..par ennui… parce qu’il fait chaud ou froid.. parceque je suis fatiguée..ou en pleine forme…pour fêter..pour oublier..pour rire…
    Voilà 15 jours aujourd’hui que je suis sobre…
    Ma décision était prise sans retour en arrière..
    Plus d’insomnies…plus de brûlures d’estomac..plus de niaiseries devant les gens….
    Je me sens bien..avec toutes mes facultés…
    Il est possible d’arrêter pour soi….un cadeau que je me suis fait….

  43. Xavier dit :

    moi cela fait 365 jours aujourd’huique je n’ai pas bu une goutte d’alcoolj’ai fait cela dans le but de montrer à tout le monde que j’en suis capable d’arrêter définitivement et surtout pour prouver à ma femme combien je l’aime

  44. comtet dit :

    je me reconnait ici car arreter de boire est difficile quand on a une vie sociale

  45. Guylaine Lévesque dit :

    Votre témoignage me rejoint énormément. Pendant de nombreuses années, j’ai 61 ans, j’ai été la buveuse du soir solitaire qui ne faisait de mal à personne sinon à moi-même, mais qui a semé l’inquiétude auprès des quelques personnes partageant mon intimité.
    La dépendance à l’alcool et la dépression sont très souvent d’inséparables compères. Il y a près de 3 ans après le mariage au Québec de ma fille qui réside en Australie depuis plusieurs années, je me suis rerouvée devant un vide total, une profonde dépression. J’ai été mise devant deux choix : de bénéficier du suivi professionnel (incluant antidépresseurs) qui exigeait l’abstinence complète ou de poursuivre dans ma lancée ou plutôt ma descente.
    J’ai cessé pendant 2 ans et demie et curieusement ce ne fut pas aussi difficile qu’envisagée.
    Au début de décembre dernier, après un long épisode lié à la problématique d’une maman vieillissante et tout ce que cela entraîne, je suis retombée.
    La chute est plus vertigineuse, la lutte beaucoup plus rude et constante. Mon psychiâtre m’a fortement suggéré de faire une démarche auprès des ressources du CLSC de ma région. J’ai été évaluée et je vais débuter un programme de suivi et de soutien serré.
    En fait, j’ai compris que je ne suis pas de celles qui peuvent contrôler sa consommation; l’abstinence est ma seule option.
    Je vais plutôt me spécialiser vers les breuvages sans alcool (cocktail, thé chauds, froids, etc.)
    Je nous souhaite de réussir et d’être heureuses . Nous le méritons bien !

  46. Eric Laliberte dit :

    Je me suis également reconnu.A l’approche de mes 40 ans ,je voulais du changement.Je me suis dis que j’allais arriver a mes 40 ans le plus en forme possible et que je mettrais l’alcool de coté et faire de l’exercice.J’ai donc arrêté au 1er janvier 2009 (date stratégique) jusqu’ à mon anniversaire en octobre.J’ai également agréablement constaté que le fait de courir m’amenait un sentiment de bien être incroyable qui rejoint ce que je recherchais en prenant un verre,c’est ce qui s’appelle joindre l’utile a l’agréable! Finalement ,arrivé au jour de mon anniversaire ,j’étais tellement fier de moi (ainsi que ma femme) et bien dans ma peau,que je me suis dis que ce serait bête de recommencer.J’ai donc décidé a ce moment de continuer sur cette voie,et j’ai ensuite décidé d’envisager de réaliser un de mes vieux rêve ,celui de courir le marathon de Montréal.J’ai réussi ce nouveau défi,et je me sentais comme Rocky lorsqu’il est devenu champion du monde!Ce cher Rocky ,il a toujours été une excellente source d’inspiration pour me motiver a faire du sport.A partir de la, je savais que ma vie avait radicalement changée et c’est bien tant mieux.En ce premier janvier 2016,ça fera donc maintenant 7 ans que l’alcool ne fait plus partie de ma vie,j »ai couru 4 marathons et je suis inscrit pour un 5ieme.J »ai également entrainé ma femme dans mon aventure qui court avec moi ,elle fera 2 demis marathons cette année ,mon fils lui aussi est venu courir un demi avec nous! je suis fier de vous,de ma fille également même si elle ne court pas elle a beaucoup de succès due a son talent et sa persévérence ,une des valeurs que j’ai toujours eu a cœur et que je souhaitais leur transmettre.J’espère que ce récit sera une source d’inspiration pour d’autres ,Bonne année 2016 !

  47. Claudie dit :

    J’aime bien cet article! Je consomme exactement comme vous et l’idée d’arrêter m’effraie! Par contre, de me donner un defi me plaît! Tout est dans la façon d’aborder les choses n’est-ce pas? Chapeau à vous!!!

  48. Diane Falardeau dit :

    En plus dès maintenant vous pouvez boire du Champagne sans Alcool en 4 saveurs : blanc le classic, le rosé , le pamplemousse et le Mojito alors pourquoi boire de l’eau quand on souligne une occasion un battement un party un brunch et plus encore!
    Demander Festîllant un Champagne sans Alcool et très frais à un super prix très avantageux!
    Si celà vous intéresse écrivez moi et je vous en donnerais !
    Merci
    Diane Falardeau
    Représentante en Développement d’affaire

  49. Manon Latulippe dit :

    Bonjour, il n’y a pas de hasard dans la vie, car après 3 jours de sobriété passant à travers des maux de têtes terribles, je suis tombée sur votre article qui m’a donné l’impression que c’était moi qui parlait. Je suis seule et c’est très difficile, mais je me dis que je peux y arriver et que je dois trouver la force à l’intérieur de moi et de prendre un jour à la fois. Je vous trouve vraiment extraordinaire et avec une détermination inégalée. Votre article est une source de motivation. Il ne faut pas laisser les choses nocives contrôler notre vie mais plutôt avoir le contrôle sur ces mauvaises choses. J

  50. Deluet dit :

    Une « expérience » (le mot est sans doute faible…) passionnante a lire,mais surtout digne de félicitations!

    Car franchement,quel motivation,quelle détermination pour arriver a tenir sur une telle période!

    C’est clair,il faut « casser » ses habitudes,revoir sa façon de se « détendre »,et de concevoir ce que veut dire « passer un bon moment »………………….et……….c’est pas facile!

    J’ai lu ,relu même,ce récit avec intérêt,car j’ai eu le même rapport a l’alcool que vous,moi aussi je suis « intense »,et cette intensité,était prétexte a boire,1,2,3 ou 4 verres d’affilé,presque tous les jours,,ayant par ailleurs une forte résistance!

    Cette prise de conscience,durement ressentie par les dommages collatéraux,entre autre la honte,une perte réelle de respect et de dignité,m’a amené a entreprendre cette démarche:tenir un an sans la moindre goutte d’alcool,sans renoncer a des moments conviviaux!

    Apprendre a passer des soirées entre amis sans prendre d’apéritif,ou un verre de vin!

    Ce soir,je viens de prendre un repas au restaurant avec des amis,tout c’est merveilleusement bien passé,et je viens de franchir le cap de 6 mois sans alcool!

    Merci pour votre témoignage!

  51. Jean paul dit :

    Super leçon qu’elle bonheur de vous lire .on vous sent bouster et plein de courage belle réponse à toutes ces tentations négative .j ai arrêter la cigarette depuis 2 ans maintenant l alcool depuis 3 mois qu’elle bonheur cordialement jp

  52. Sylvie dit :

    Bravo, je suis dans le même cas. Je n’ai pas touché une goutte d’alcool depuis le 21 juin 2014 et j’espère atteindre les 6 mois, et pourquoi pas les 1 an ! Pas si facile, je tiens bon grâce aux AA. Ils m’aident beaucoup. Toute seule j’ai de la peine. J’ai de la peine aussi à me dire que plus jamais je boirai un bon verre de rouge ou une bonne bière. Bonne continuation en tout cas. Et ça m’intéresserait de savoir comment tu gères la reprise d’alcool. Les AA disent que tout de suite on reprend la même consommation qu’avant, voire pire. Donc ça n’incite pas à « recommencer ».

  53. Josee dit :

    Tout a fait moi! Et j’ai arrete depuis 14 juillet 2014, cest tres dure car je vie un stress enormem en ce moment, ma mere ce Meurt du cancer. Un livre qui m’a beaucoup aide: « drink » tres Bon! Il y a aussi des groupea moins drastique que AA,  » hello Sunday morning » . Bon courage a tous. La priere de serenitee je l’ai changer
    Je dit : papa (Pere decede) Donne moi le courage …..

  54. Sylvie Morin dit :

    Vraiment ce texte est TRÈS inspirant pour moi.. Ça me rejoint tellement! Je souhaite ardemment avoir un tel courage et cette superbe volonté. Un jour viendra!! Je serai prête.
    Bravo!!

  55. Vylie dit :

    Bravo pour votre article Chantal, ça fait réfléchir…vous m’amenez vers une réflexion qui me convainc de faire la même chose que vous.
    Donc, à partir de ce jour, je deviens abstinente pour un an et lorsque ce sera difficile je relirai votre témoignage.

    Merci !

  56. laurence dit :

    2 verres par jour uniquement. Et après 2 fois 9 mois d’abstinence (grossesses). Prendre aucun verre de vin me rend irritable et plus de deux ce n’est pas de la modération. Je ne bois jamais le lundi. J’adore un verre en cuisinant et un en mangeant, Je ne bois pas le midi et ni avant 17 heures. Je suis moi aussi intense mais, mes petits règlements tiennent la route. Il faut dire que j’ai grandi dans la culture française où, il y avait toujours un pichet de vin à table lors des repas. Les adultes autour de moi ont toujours pris du vin le midi, un apéro à 16 hres et un souper bien arrosé à 20 hres et le dimanche….ouf journée interminable où on entrait à table à 12 hres pour en ressortir à 20 hres le soir. Tout le monde était bourré et je m’endormais sous la table.

  57. Annie Lachance dit :

    J’espere vraiment que tu auras le contrôle sur ta consommation car par expérience je peux te dire que le dérapage peut réarriver à tout moment. Bonne chance

  58. Lorraine gauthier dit :

    Mon dieu que sa me ressemble énormément moi aussi toute les bonnes occasion était bonne pour boire je dit était car depuis le début de l’année je ne bois plus la semaine donc le samedi soir quand j’ouvre ma bouteille de vin je la savoure pleinement et 2verres c’est assez car on dirait que mon corps n’en n’a plus besoin comme avant je suis fier de moi et je vais continuer c’est sur mon foie m’as avertie !,,,,,,

  59. NATHALIE dit :

    Je te félicite..tout un exploit..C’est étrange ton article m’a interpellé car je n’ai pas bu une goutte d’alcool depuis le 1er janvier, ni fumer de cigarettes..Je me sens comme une championne olympique.
    Ma relation avec l’alcool: je suis une intense du vendredi soir…mais vraiment intense et à chaque vendredi soir… ( ça commencais souvent en après midi et se terminait tard tard tard…4 h du mat c’était normal!)résultat: mes samedis étaient complètement perdus, et je ne vous parle pas de mon blues du dimanche…
    Je ne dis pas que je serai 1 année sans prendre de l’alcool, mais je vais réfléchir un peu plus à l’avenir aux sentimenst et aux malaises dont je souffrais le samedi midi.
    De plus, ça m’as permis de me remettre à l’activité physique, je fais 30 minutes chaque jour..soit piscine soit jogging! Je suis tellement plus heureuse et la vie n’est pas si plate que je l’appréhendait!.. A suivre

  60. Audrey dit :

    Moi j’ai arrêter depuis presque 3ans 🙂 ma peau est plus belle, beaucoup moins de rides, tâches pigmentaires et cernes noirs sous les yeux. J’ai troqué le vin pour le moût de pomme sans alcool.
    Mon système digestif se porte 100% mieux et mes yeux sont vifs et brillants. Adieu la déprime car l’alcool est un dépresseur et il pouvait me rendre parfois déprimé!

    Voilà ! Moi l’alcool c’est terminé pour toujours et je me porte à merveille:)

  61. Amy Calle dit :

    Félicitations, Chantal. L’alcool est tellement présent dans toutes les occasions et sous divers formats aux goûts séducteurs, qu’on en oublie qu’à trop en consommer, ben, ça créé des problèmes…j’ai bien aimé lorsque tu as écris à propos de collectionner des black-outs! 🙂 Bref, bonne continuation dans ton projet. Amités.

  62. Diane Philippon dit :

    J’espère que tu es fière de toi ma belle, J’en connais qui devrais suivre ton cheminement. Bravo

  63. Patou dit :

    Votre récit Chantal me prouve que si on veut arrêter, on le peut. Ma mère cumule près de 60 ans de dépendance à l’alcool et lorsque ses enfants lui ont demandé de choisir entre nous et sa bouteille… Nous avons perdu.

    Bravo pour votre histoire, pour votre vécu et pour avoir cru en vous, cru que vous en valiez la peine.

  64. marthe fortin dit :

    je suis sans voix ,j ‘ai tous les résonnements de Véro, je me dit j ai pas de problème je ne dérange personne je suis a la maison etc mais avec se témoignage je pense que je peux y arriver même s’il faut relire son témoignage Merci Véro de ta transparence ,je t admire beaucoup ,,

  65. suzie lacroix dit :

    Bravo Chantal…j’ai fait la même expérience en 2008 je considérait que l’alcool prenait trop de place et j’en était devenu esclave… pour me prouver à moi même que je pouvait vivre sans l’alcool et
    que la vie était possible…j’ai répéter l’expérience toutes les années depuis et je me porte très bien avec mon eau citronner ….

  66. Lucie dit :

    Juste un mot Bravo!!!

  67. Sylvie Bernier dit :

    Wow!!! C’est tellement moi et tellement ce que je vis que ça m’impressionne de lire ceci au moment même où je suis en réflexion sur ma consommation d’alcool et que le défi de réussir à être « heureuse » sans alcool pendant une année complète (histoire de vivre toutes les saisons car à chacune son lot de festivités), m’interpelle pour donner à mon estime de moi-même un petit coup de pep perdu ici et là par la culpabilité d’avoir dit un nombre incalculable de fois que je ne boirais plus ou moins ou de façon équilibrée sans grand succès mais aussi et surtout pour tous les bienfaits que ça m’apporte d’être toute là et de vivre vraiment, pleinement, chaque moment! Merci pour ce beau témoignage, très inspirant!

  68. Alain dit :

    Bravo , pour ma part j ai pris la même résolution en 2011 et j ai complété mon 2 ans sans une goute d alcool .Je ne suis pas des AA et je passe a la SAQ toute les semaines pour ma cave a vins que je continu de monté et aussi pour mes proches , mon plaisir c est d ouvrir une bonne bouteille pour mes proches , c est simplement un projet de vie pour moi et cette année c est la cigarette qui y passe j en suis a mon 26 jours sans fumé . Te lire ma fait grand bien coté passe envie de fumé . Bravo et merci

  69. Marie Josée dit :

    Je suis tellement sous le choc!! J’ai l’impression que c’est mon histoire!! Je n’ai pas encore eu le courage de faire cette abstinence mais une petite voix me parle régulièrement… Je me sens déjà tellement mieux et plein de courage suite à votre belle lettre! Félicitations:))

  70. Natacha dit :

    Bravo pour ton année d’abstinence !!! Mais fais attention de ne pas retourner dans les vieilles habitudes….. Moi ça fait 6 ans que j’ai cessé de boire et jamais je ne pourrais me permettre de prendre un seul verre car j’en mourrai car j’ai la maladie de l’alcoolisme… Encore bravo et fais attention à toi !!!

  71. Denis dit :

    Ça peux fonctionner de recommencer mais en tant qu’alcoolique abstinent depuis maintenant presque 4 ans je sais que si je retouche à mon premier verre ce serais la pire chose qui pourrais m’arriver,mais bravo à toi

  72. André Pageau dit :

    Bravo, un bel exemple à suivre, en serais-je capable?
    Je pense que Oui, c’est souvent pas nécessaire non?

    Je t’admire beaucoup, continue à être toi-même Véro!

  73. Miss Top Loulou dit :

    Tu as bien raison d’être fière de ton exploit, Chantal! Personnellement, je n’ai jamais pensé que ma consommation d’alcool pouvait être problématique, mais j’avoue que ta démarche me fait réfléchir… Chose certaine, la modération a effectivement bien meilleur goût. J’y penserai la prochaine fois que je trinquerai… à ta santé!

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