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«Trois», de Valérie Perrin, Le Livre de Poche, 17 $. Le nouveau roman de l’autrice de «Changer l’eau des fleurs» est sorti en livre de poche juste à temps pour l’été. On y suit trois protagonistes, Étienne, Nina et Adrien, de la fin du primaire à la quarantaine bien sonnée. Les épisodes de leur histoire d’amitié s’entremêlent avec ceux de l’enquête sur l’épave submergée retrouvée près de leur village. Le roman idéal pour un après-midi à la plage! | Voir le produit -
«L’Affaire Alaska Sanders», de Joël Dicker, Éditeur Rosie & Wolfe, 35 $. L’intrigue a lieu quelques années après la célèbre affaire Harry Quebert. Le meurtre de la reine de beauté Alaska Sanders, que l’on croyait depuis longtemps résolu, fait l’objet d’une nouvelle enquête, menée par le sergent Perry Gahalowood et l’écrivain Marcus Goldman. Attention, il vous sera bien difficile de poser ce roman policier avant de l’avoir terminé, tant l’auteur manie à la perfection fausses pistes et rebondissements spectaculaires! | Voir le produit -
«Mille secrets mille dangers», par Alain Farah, Éditeur Le Quartarnier, 33 $. L’universitaire montréalais, fils de Libanais égyptiens, signe un roman autobiographique à la fois drôle et touchant. Son action se déroule en 24 heures, le jour du mariage du narrateur, qui sert de point de départ pour évoquer la quête de l’identité, le poids des atavismes familiaux et le pouvoir de l’amitié. Un tourbillon d’émotions et une ode à la vie! | Voir le produit -
«No-no-yuri», par Aki Shimazaki, Éditions Actes Sud, 29 $. À travers ce court roman, l’écrivaine québécoise brosse un portrait subtil de la place de la femme dans la société japonaise. Son personnage principal, Kyôkô, est une femme sublime, qui a choisi de rester célibataire et de mener une carrière de secrétaire de direction. Mais l’arrivée de son nouveau patron vient subitement ébranler ses certitudes. Un petit bijou pour les adeptes de suspense psychologique! | Voir le produit -
«Au pays du désespoir tranquille», par Marie-Pierre Duval, Éditeur Stanké, 30 $. Dans ce premier roman, l’autrice met en scène son alter ego, Marie. Quarantenaire, maman et recherchiste pour la télévision, elle fait un burn-out. On suit sa quête existentielle pour s’octroyer de l’espace mental, déconstruire ses prisons intérieures et se donner le droit d’être elle-même. Un livre qui vous fera du bien, en vous démontrant que vous n’êtes pas seule à souffrir de pression sociale! | Voir le produit -
«Le mage du Kremlin», par Giuliano da Empoli, Éditions Gallimard, 38 $. Depuis l’invasion russe en Ukraine, vous vous demandez ce qui peut bien se passer dans la tête de Poutine? Ce premier roman, signé par un politologue italien, pourrait vous apporter quelques réponses. En suivant les aventures du narrateur, directement inspiré par l’un des principaux conseillers de Poutine, on s’infiltre dans les rencontres mondaines, on comprend les jeux de pouvoir et on vit les guerres russes de l’intérieur. À la fois glaçant et fascinant! | Voir le produit -
«Je revenais des autres», par Melissa Da Costa, Le Livre de Poche, 16 $. Avis aux amateurs de lectures faciles et positives : l’autrice de «Tout le bleu du ciel» a sorti un nouvel opus. Ambre, 20 ans, arrive dans un hôtel montagnard pour tenter de se reconstruire après une tentative de suicide. Elle fait la connaissance des autres saisonniers, tous cabossés par la vie. Un hymne à l’amitié et à la seconde chance, qui ne tombe pas pour autant dans la mièvrerie! | Voir le produit -
«La jeune fille à la tresse», par Françoise De Luca, Éditions Marchand de feuilles, 29 $. Inspiré de faits réels, ce roman retrace l’amitié qui unissait Liliane, issue d’une famille conventionnelle, à Solange, fille de chapeliers juifs, à la fin des années 30. En dépit de son issue tragique, c’est une histoire lumineuse, qui a le (rare!) mérite de raconter la seconde guerre mondiale du point de vue des femmes et de mettre en valeur leur rôle actif dans la Résistance. | Voir le produit -
«Une femme extraordinaire», par Catherine Éthier, Éditions Stanké, 28 $. Quand l’artiste prend la plume, on retrouve les métaphores et le ton caustique caractéristiques de son style. Toutefois, le sujet de son autofiction est plus intime que ceux de ses chroniques : Corinne, son alter ego pas si fictif que ça, est en proie au doute, à l’anxiété et même à des pensées suicidaires. Plus on avance dans le récit plus on est émue … et plus on rit. À lire! | Voir le produit -
«L’espoir est cette chose à plumes», de Nina Berkhout, Éditions XYZ, 28 $. Dawn Woodward, une chanteuse lyrique prometteuse, perd confiance après une prestation désastreuse. Elle fait alors l’expérience d’une amitié improbable, façonnée par le pouvoir de la musique. Une lecture pleine d’espoir, qui parle de la lenteur nécessaire à la renaissance et invite à l’auto-bienveillance! | Voir le produit -
«Plessis», de Joël Bégin, VLB Éditeur, 34 $. Maurice Duplessis, ancien premier ministre du Québec, décède d’une hémorragie cérébrale à Schefferville, en 1959. Cette anecdote véridique constitue le point de départ de ce premier roman, dans lequel un policier trifluvien pas spécialement doué et son ami Gégé Godin vont enquêter sur les circonstances du drame. Cette fiction oscille entre drame familial, récit historique et portrait de la classe politique, où les seules limites sont celles de l’imagination de l’auteur. | Voir le produit -
«La boîte à magie», par Camilla Läckberg, Éditions Actes Sud, 40 $. Des meurtres atroces évoquant des tours de magie ayant viré au drame, un duo de détectives aux profils inusités, une enquête particulièrement réaliste : ce policier tient le lecteur en haleine et le fait naviguer entre magie, amour et désillusion. Frissons garantis! | Voir le produit -
«La femme de chambre», par Nita Prose, Éditions Calmann Lévy, 25 $. Bienvenue au prestigieux hôtel Regency Grand! Molly y travaille comme femme de chambre et le connaît sous toutes les coutures. Du moins c’est ce qu’elle croit, jusqu’à ce qu’elle se retrouve mêlée au meurtre d’un richissime client. Avec l’aide de collègues aussi précieux que loufoques, l’attachante héroïne va découvrir que les coulisses du palace cachent bien des secrets. | Voir le produit -
«La course de Rose», par Dawn Dumont, Éditeur Hannenorak, 22 $. Rose, mère de deux filles, perd son mari et son travail. Qu’à cela ne tienne, elle décide de s’inscrire au marathon de la réserve, alors qu’elle fume comme une cheminée et qu’elle n’a pas chaussé ses souliers de course depuis 20 ans. Quand elle découvre que le nouveau chef est son amoureux du primaire, le chaos s’installe pour de bon. Si vous cherchez un livre qui vous fera rire, voilà le roman qu’il vous faut! | Voir le produit -
«Les incroyables aventures des sœurs Shergill», par Balli Kaur Jaswal, Éditions Pocket, 15 $. Et si vous vous évadiez en Inde, pour goûter ses plats alléchants et visiter ses lieux sacrés? Ce roman nous invite à accompagner trois sœurs pas spécialement proches, qui effectuent un voyage initiatique dans leur pays d’origine pour respecter les dernières volontés de leur mère. Tout en nous faisant découvrir la culture indienne, il aborde les thèmes de l’identité, de la sororité et des inégalités de genre. | Voir le produit -
«La saga des Florio T.2 : Le triomphe des lions», par Stéfania Auci, Éditions Albin Michel, 35 $. Si vous avez aimé le premier tome de la saga de cette riche famille d’industriels issus de Sicile, le deuxième ne vous décevra pas. On y suit les destins d’Ignazio Florio, son mariage chaotique et ses défis de patron face à la concurrence étrangère, puis de son fils, grand séducteur, le tout sur fond d’instabilité politique et de corruption. Difficile de rester indifférent à ce phénomène littéraire italien! | Voir le produit -
«Le serment», par Arttu Tuominen, Éditions De La Martinière, 35 $. Traduit du finnois, ce roman policier primé s’inscrit dans la plus pure tradition du polar scandinave. L’intrigue se situe dans les contrées sauvages de la Finlande et met en scène trois hommes, la victime, le suspect et le commissaire, qui ont la particularité de se connaître depuis l’adolescence. On apprend au fil des pages qu’ils sont liés par un secret… et un serment. | Voir le produit -
«Neige des lunes brisées», par Waubgeshig Rice, Éditeur Mémoire d’encrier, 25 $. Originaire de la Première Nation de Wasauksing, en Ontario, l’auteur a remporté plusieurs prix pour ce roman de science-fiction, initialement paru en anglais sous le titre «Moon of the Crusted Snow». Ce thriller nous plonge au sein d’une communauté anishinaabe, isolée et privée d’électricité, qui doit faire face à l’arrivée de l’hiver mais aussi à celle de visiteurs inattendus, fuyant l’effondrement de la société dans le Sud. | Voir le produit -
«Femme forêt», par Anaïs Barbeau-Lavalette, Éditions Marchand de Feuilles, 27 $. L’autrice de «La Femme qui fuit» signe un nouveau roman poétique, où elle laisse une fois encore libre cours à son style d’écriture métaphorique. C’est l’histoire d’une famille qui quitte Montréal pour se réfugier à la campagne, dans une maison bleue surpeuplée. École à la maison, omniprésence de la nature, ode à la famille : ce livre plein de tendresse et d’émotion est une belle façon de faire la paix avec la tourmente pandémique. | Voir le produit -
«Blackwater T. 1 : La crue», par Michael McDowell, Éditions Alto, 25 $. On est d’abord attiré par la couverture de ce premier tome de la série américaine, qui en compte un total de… six! Elle retrace l’histoire d’une famille fortunée du sud de l’Alabama, les Caskey, entre 1919 et 1970. L’intrigue mystérieuse, les conflits familiaux, les thèmes transversaux, comme la lutte des classes, font de cette lecture accessible un excellent moment de divertissement. À glisser dans sa valise! | Voir le produit
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