5 choses qu’on ignore sur Alexandre Barrette

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14 Juin 2019 par Laurie Dupont
Catégories : Culture / Véro-Article
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Voici 5 pans de la vie d’Alexandre Barrette que peu de gens connaissent.

Son rapport à son apparence

« Je ne trouve pas que je suis laid, mais je ne trouve pas que je suis un bel homme non plus. Et ce n’est pas de la fausse humilité. Avant de faire de l’humour, curieusement, je n’avais pas mille opportunités de baiser avec des filles… (rires) Tu sais, Joey Scarpellino, même s’il n’était pas acteur, il n’aurait pas de difficulté à dater qui il veut.

Une année, à ma plus grande surprise, je me suis déjà retrouvé dans la liste des 20 hommes les plus sexy du Québec. Ben voyons! Ça n’a pas rapport! Un vrai beau gars, c’est pas moi! Donne-moi cinq minutes, et je vais trouver 20 plus beaux gars que moi dans un rayon de 100 mètres! (Rires) Par contre, je serais davantage flatté de me retrouver dans un top 20 des hommes les plus charismatiques. Ça, je pourrais y croire. »

Sa vision des relations amoureuses

« Ça me fait peur, les relations de couple à long terme. C’est suffocant d’envisager que tu ne seras qu’avec une seule personne pour le restant de ta vie… alors que tu peux rencontrer des personnes extraordinaires à chaque jour! Tu renonces donc à plein d’autres potentielles relations.

C’est un contrat à vie…. Et c’est un peu effrayant ! »

Son besoin de TOUT conserver

« Je suis incapable de jeter quoi que ce soit. Même mes boxers troués, je vais les avoir analysés quelques fois avant de m’en débarrasser. J’aime garder plein d’affaires, qui ont une valeur sentimentale pour moi. Marie Kondo, c’est non. Il y a des vêtements que je ne porte qu’une fois par année, mais ceux-ci me comblent en crisse!

J’ai aussi gardé tous mes passeports, même si je sais que je ne prendrai jamais le temps de les regarder. Je loue un entrepôt depuis 6 ans pour conserver des choses qui ne valent rien. J’ai dû payé environ 6000 $ au total, pour 300 $ de stock… Faut que j’aille le vider ! (rires) »

Sa peur de vieillir

« J’ai toujours trouvé ça difficile, vieillir. À 16 ans, à 18 ans, ça me faisait déjà mal. Le 30 ans m’a tué. La vie est mal faite. Quand tu as 20 ans, tu peux encore tout faire. Tu n’as rien ou presque, mais tout est encore possible. Ce qui te manque, tu l’obtiens plus tard, et ce que tu avais, tu le perds. La fougue, la jeunesse, tu perds ça tout doucement, mais tu acquières de la confiance et de l’argent. Imagine si à 20 ans, on pouvait vivre à crédit. On te dirait, tiens, voici 100 000 $, que tu vas rembourser toute ta vie, profites-en ! C’est clair qu’on l’échapperait tellement ! (rires) »

Sa phobie des blancs de mémoire

« En début de carrière, je ne voulais pas avoir un blanc, c’était ma phobie. Christian Bégin – que j’adore -, qui était mon prof à l’École nationale de l’humour, m’avait dit que c’était certain que j’allais en avoir un, un jour ou l’autre, dans ma carrière. Que je ne devais pas craindre ça. Maintenant, je n’ai plus de stress avec la possibilité d’avoir un blanc. Quand je suis de bonne humeur et heureux, je livre une bonne performance. Le stress ne contribue pas à mon bonheur… au contraire. »



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