5 choses surprenantes au sujet de Jean-Philippe Dion

16 Avr 2018 par Laurie Dupont
Catégories : Culture
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Un petit extra à l’entrevue réalisée avec Jean-Philippe Dion dans notre numéro du printemps.

Son besoin de changement

«Professionnellement, je me tanne vite. C’est plutôt le chemin pour mettre un projet à terme qui m’intéresse. Aussitôt que j’ai atteint mon but, je suis déjà en train de penser au prochain défi. Je dois corriger ça car je suis bien loin de vivre le moment présent. Je suis toujours en train de penser à ce que je vais faire demain.»

 

Son côté «indécis»

«Pour les affaires non-essentielles de ma vie personnelle, je suis incapable de prendre des décisions. Par exemple, ça fait un mois que je magasine un lit – parce que je dors encore dans mon lit d’adolescent! -, et je n’ai toujours pas choisi. Je suis allé en magasin, j’ai fait un montage avec les trois photos de lit… et je ne sais toujours pas! Quand j’aurai fait mon choix, je rappellerai sûrement le lendemain pour changer ma commande.»

 

Son amitié avec Marie-Ève Janvier

«Je tripais sur Marie-Ève quand j’étais jeune car elle était la représentation de ce que je voulais être, de ce que je voulais faire dans la vie. C’était la seule personne autour de moi qui touchait au show business. Je faisais une fixation sur elle. J’ai d’ailleurs retrouvé un dossier avec des articles de journaux et des cassettes de téléthons auxquels elle a participé. On est devenus amis à l’époque, mais c’est surtout lors des dernières années que notre amitié a grandi. Marie-Ève est vraiment une amie précieuse sur laquelle je peux compter.»

 

Sa relation amoureuse

«Ça va faire 15 ans qu’on est ensemble Martin et moi, et notre relation ne fait que se bonifier avec les années. Quand je l’ai rencontré, j’avais 19 ans. J’étais au Cégep, je travaillais comme guichetier dans un théâtre et dans un Ultramar la fin de semaine. Disons que notre vie a changé avec les années! Et ce qui me fait du bien, c’est que je sais qu’il n’est pas avec moi parce qu’on voit ma face à la télé.»

 

Ses études

«Je ne suis jamais allé à l’université et c’est un manque pour moi. J’aimerais ça avoir un bac, mais le métier s’est tellement présenté vite que j’ai lâché l’école. Si j’ai des enfants un jour, je voudrais qu’ils aillent à l’université, si ce n’est que pour le réseau de contacts qu’ils pourraient créer, et pour les connaissances, bien sûr.»

À lire aussi: 

Rencontre avec Pierre-Yves Lord 

Entrevue avec Claude Legault

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Photo: Jocelyn Michel



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