- Pourquoi avoir voulu faire un show acoustique, on ne peut plus dénudé?Pour créer un contraste entre l’expérience technologique et le côté très humain et intimiste d’un concert en solo.
2. À quel point ressens-tu le besoin de te mettre en danger?J’en ai toujours besoin. Je trouve que les plus belles facettes de la musique sont sa malléabilité, son invisibilité et son imprévisibilité. Donc, je trouve qu’il y a toujours plus d’émotion dans la musique qui jaillit de nulle part, qui n’est pas trop préparée ou calculée par notre cerveau. Même si je préfère jouer ma musique avec d’autres musiciens, en solo, il y a une liberté de direction musicale qui est absolue et très excitante.3. Appréhendes-tu ce spectacle virtuel interactif ou en es-tu plutôt excité?
J’en suis excité. Le volet interactif est le côté qui m’attire le plus. J’ai hâte vivre l’expérience d’interaction avec les gens de partout en temps réel.
4. Qu’est-ce qui te manque le plus de la scène?
Justement cette interaction entre la foule et moi. Voir les visages des gens quand je chante et leur appréciation grandissante au fur et à mesure que le spectacle se déploie.
5. Quelle chanson as-tu le plus hâte de revisiter?Très dur à dire. J’aime fouiller dans le passer et ressortir de vieilles chansons de Karkwa autant que jouer des trucs jamais entendus.
6. Tu es, comme tu le dis toi-même «en pulsion d’écriture»; offriras-tu des chansons inédites le 20 août?C’est dans mon plan de match, je finirai le spectacle avec une ou deux pièces inédites. J’ai très hâte.
Pour vous procurer votre accès, c’est par ici > yoop.app
Dominique Lafond
