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Crayons à la mine | Les crayons font partie de l'arsenal de tout bon écolier. Staedtler, marque classique s'il en est, propose depuis maintenant quelques années une version de ses bons vieux crayons de graphite, cette fois munis d'une gomme à effacer sans latex ni PVC et faits de bois allemand certifié par le très sérieux FSC (Forest Stewardship Council). 5 $ la boîte de 10. | staedtler.ca
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Crayons de couleur | À la recherche de crayons de couleur plus «verts»? Question de faire notre part pour la planète, on aime bien l'idée que ceux-ci puissent avoir une seconde vie. C'est exactement ce que propose Sprout avec ses crayons biodégradables dans lesquels se trouvent des graines de fines herbes : il suffit de les planter à la fin de l'année scolaire pour multiplier la variété dans notre potager. 19,95 $ la boîte de 8. | amazon.ca
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Étampes en bois | Envie de joindre l'utile à l'agréable à l'heure des devoirs et des leçons? Cet ensemble d'abord conçu pour permettre aux tout-petits de se familiariser avec l'alphabet saura amuser tout autant les plus grands quand viendra le temps de mémoriser leurs mots de vocabulaire. Qu'on se le dise : faire une dictée à l'aide d'étampes colorées, c'est beaucoup plus amusant! Promis, ces 56 tampons en caoutchouc serviront longtemps. 26,99 $. | deserres.ca
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Étui à crayons | Encourager les petites marques locales, c'est aussi une manière de faire notre part pour la planète. Sur la plateforme Etsy, l'artiste Vanessa Ménard propose notamment des reproductions de ses œuvres à l'aquarelle sous forme d'étuis à crayons fabriqués à la main au Québec. 15,30 $. | etsy.com
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Feutres | Les crayons feutres sont généralement incontournables des listes scolaires. Quels critères devraient guider nos choix? D'abord, on choisit un produit non toxique (même s'il n'existe pas, à notre connaissance, de certification, les marques n'hésitent pas à l'inscrire sur l'emballage quand c'est le cas). Ensuite, on essaie de limiter notre empreinte écologique en recyclant les feutres hors d'usage. Crayola a d'ailleurs une bonne longueur d'avance en ce domaine avec son programme Color Cycle. | crayola.com
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Signet | Plusieurs enseignants demandent à leurs élèves de garder un signet dans leur pupitre en vue des virées hebdomadaires à la bibliothèque de l'école. S'il s'agit là d'une belle occasion de bricoler en famille, on est séduit par ce signet des plus durables. Fait de laiton verni, il devrait servir bien au-delà de la sixième année. 18 $. | boutiqueddd.com
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Mouchoirs | Une loi adoptée en juin a forcé les écoles québécoises à retirer de leurs listes de matériel scolaire tout ce qui devrait normalement être fourni par l'école, à commencer par les mouchoirs en papier. Cela dit, rien ne nous empêche de leur préférer les mouchoirs réutilisables en coton bio d'Öko créations, plus doux pour les petits nez. Il suffit d'en glisser quelques-uns chaque jour dans un sac à collation réutilisable (la marque blainvilloise Omaïki en fabrique d'ailleurs de très jolis). 17,95 $ le paquet de 4. | okocreations.ca
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Sac à dos | Tous les sacs de la marque canadienne Parkland sont fabriqués à partir de bouteilles de plastique recyclées. Testé et approuvé par la rédaction, le modèle Bayside est conçu pour s'adapter aux proportions des jeunes écoliers, tandis que le Tello (sur la photo), une des nouveautés de cette année, conviendra très bien aux ados qui ont besoin d'un sac un peu plus logeable. 44,99 $. | parklandmfg.ca
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Sac à lunch | Le sac à lunch parfait est lavable à la machine. S'il est en plus orné de motifs rigolos (imprimés à l'encre non azoïque), fabriqué en coton biologique et doté d'une doublure sans BPA résistante à l'eau, comme ceux de la marque Fluf, c'est encore mieux! 32,50 $. | fluf.ca
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Stylo | Pourquoi ne pas opter pour un stylo de qualité qui durera toutes les études? Certains modèles, comme les élégants stylo bille signés Poketo, peuvent être rechargés, et ce, à prix somme toute raisonnable. 12,95 $ (recharges : 9,95 $ le paquet de 4. | boutiqueddd.co

Fleuristes de famille
Leurs entreprises ont des noms poétiques comme Floramama ou Pastel. Derrière l’image idéalisée de champs fleuris à perte de vue se dévoilent quatre entrepreneures qui plongent leurs pieds dans la boue pour vivre de leur rêve : la floriculture.