Le parcours créatif
Pas besoin de beaucoup d’espace pour créer un parcours créatif unique. Des exemples de défis ? On invite les enfants à sauter par-dessus (voire passer sous) un bâton de hockey ou un balai, on fabrique un tunnel à l’aide de coussins ou d’une boîte en carton. Les possibilités sont infinies ; suffit d’être imaginatif ! Et quand ils ont complété le parcours deux ou trois fois, on leur suggère de le refaire, cette fois à reculons.
Le mini-golf à la maison
Encore une fois, on fait appel à notre imagination pour créer un parcours digne des belles années de la Coupe mini-putt, grand classique des années 1990. Pas de putter à la maison ? Qu’à cela ne tienne, on propose aux enfants d’en fabriquer, question de les occuper encore plus longtemps ! Un bâton de hockey peut aussi très bien faire l’affaire.
Le jeu de washer réinventé
Selon les règlements officiels de l’Association canadienne de washer (oui, oui, ça existe !), ce jeu requiert deux boîtes munies d’un tuyau de 10 cm de diamètre. On l’adapte facilement à la maison en disposant une petite boîte à biscuits ronde en métal dans un panier à linge. Pour limiter les dégâts, on remplace la balle par des chaussettes ou des gants roulés, idéalement une couleur par joueur. But du jeu : accumuler le plus de points possible (5 points si notre « balle » tombe dans la boîte de métal, 3 si elle atterrit dans le panier à linge et 1 si on l’envoie à l’extérieur).
L’entraînement « olympique »
On imite les athlètes olympiques en imaginant un parcours d’entraînement : pompes au mur ou au sol, sauts de grenouille, redressements assis, sauts sur place… On improvise une demi-douzaine de stations qui feront bouger petits et grands.
Les défis de la balle
Une balle (ou un ballon), des dizaines d’activités. On s’exerce à la lancer et à l’attraper à deux mains, puis à une main en alternant de côté. Quand on réussit bien, on tente le défi lancer-taper dans les mains-rattraper. On peut aussi la lancer sous notre jambe puis essayer de la rattraper et même pratiquer les rebonds sur le sol ou au mur.
La course à obstacles
On utilise ce qu’on a sous la main en guise d’obstacles à éviter. On peut même se servir d’une craie pour les dessiner dans l’entrée, dans la ruelle ou sur le trottoir si on préfère. Défi supplémentaire : exécuter le parcours en tenant une balle de ping-pong ou tout autre petit objet dans une cuiller sans la faire tomber.
La danse qui défoule
À l’extérieur (où à l’intérieur s’il pleut), on met de la musique et on danse. On invente notre propre chorégraphie ou on suit celles que propose la bande de Wixx.
Le contorsionniste de l’alphabet
Les plus petits risquent de bien rigoler en essayant de former les 26 lettres de l’alphabet avec le corps. On peut essayer avec les chiffres également. L’art de rendre certains apprentissages ludiques !
Le funambule
Pas besoin d’une véritable poutre pour travailler son équilibre. Une simple ficelle déployée sur le sol suffit. Quand l’exercice devient trop facile, on ajoute un coefficient de difficulté en posant un frisbee (ou une assiette de plastique) sur sa tête.
Le yoga inspiré de l’arche de Noé
Afin de relaxer après une journée bien remplie, on tente l’expérience du yoga. Plusieurs postures évoquant des animaux sont tout à fait adaptées, et ce, même pour les petits d’âge préscolaire. Plusieurs vidéos sont accessibles, notamment sur le site Mon yoga virtuel, pour ceux qui ont envie de s’initier.
Merci à Nadine Rousseau, enseignante en éducation physique à la Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles, pour ses précieuses suggestions.
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