
10 activités familiales pour prolonger l’été
La rentrée scolaire est peut-être derrière nous, mais il reste encore de beaux moments pour faire des activités amusantes un peu partout aux quatre coins du Québec.
Le printemps, c’est la saison du renouveau, du beau et… des mosus de tâches! Ça revient chaque année et pourtant, il y a tout un tas de choses que je ne ferai pas encore cette fois-ci. En voici la liste :
Je ne me souviens même plus si c’est à l’automne ou au printemps que je devrais faire ça, mais ce que je sais, c’est que je vais bientôt gagner le concours «Maison fleurie» avec ce qui pousse dans mes gouttières…
Tous les ans, je me dis que mon chum et moi allons les nettoyer et que ce sera une belle activité printanière. Finalement, mon chum ne veut rien savoir, puis moi, je paralyse dans l’échelle. Je fais donc venir un gars pour une estimation, je trouve ça trop cher, et les gouttières restent pleines.
L’inscription aux camps de jour de la ville est un mystère pour moi. Chaque année, je manque le bateau. Je vais trop tard sur le site et il reste juste le début et la fin des vacances. Je vous jure, il faut être sur le site de la ville entre 7 h et 7 h 10 le premier jour des inscriptions (en mars) pour que vos enfants obtiennent une place. C’est plus facile d’avoir des billets des Canadiens dans la première rangée que d’inscrire les kids aux camps de jour.
Alors mes enfants finissent toujours par passer l’été avec moi, car je refuse de payer 400 $ la semaine pour chacun d’eux afin qu’ils apprennent à jongler avec quatre balles ou à sauter dans un cerceau en feu.
Mes amies super-organisées achètent leurs semences en avril en préparation de leur magnifique jardin. Alors je me dis que je vais faire pareil. Mais ça se déroule plutôt comme suit:
En avril, je planifie un jardin et j’en parle avec mes amies.
En mai, j’achète un magazine de jardinage (que je n’ouvre pas).
En juin, j’achale mon chum pour qu’il m’aide à faire un jardin (il refuse tout le temps, sous prétexte qu’il a trop mal au dos pour soulever la brouette).
En juillet, je pense qu’il va me falloir des plants parce que mes graines n’auront pas le temps de germer et de pousser.
En août, j’achète des légumes au marché en me disant que j’ai bien fait de ne pas cultiver de jardin parce que les légumes ne coûtent presque rien à la fin de l’été.
Pour les plates-bandes, c’est un peu plus court comme déroulement:
En mai, je regarde des photos des maisons fleuries de l’été passé dans le journal local et je pense que mes chances vont être bonnes cette année.
En juin, je vais à la pépinière acheter des fleurs (que je ne connais pas et qui coûtent beaucoup trop cher), je les sors de mon coffre d’auto, je les mets sur les marches devant mon entrée en attendant de les planter… et elles restent là tout l’été.
J’entretiens une relation amour-haine avec Pinterest et les magazines de décoration. Je suis terriblement jalouse de ces maisons décorées au goût du jour que l’on y voit.
Le printemps me donne envie, à moi aussi, d’avoir un bel intérieur. Je passe des heures à penser comment je pourrais réorganiser notre bordel pour que tout soit plus agréable, plus zen et que je puisse redécorer.
Ensuite je vais dans les boutiques. Je regarde les prix de ce que je veux. Je prends des notes. Je me fais une liste, pis… j’en parle avec mon chum. Comme cette année, où j’étais vraiment décidée.
Fin du projet.
Le montant que je voulais allouer à la décoration va plutôt servir à payer les frais engagés pour réparer le dégât d’eau… causé par les gouttières qui n’ont pas été vidées depuis trois ans. Oups!