Maillots faits au Québec: June Swimwear

maillot
29 Juin 2020 par Alex Gonthier
Catégories : Mode
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Son ADN

Fondée en 2009, June Swimwear s’inspire de la culture du surf et véhicule des valeurs comme l’évasion, la liberté et la simplicité. «J’ai appris à coudre quand j’étais toute petite. Au retour d’un séjour en Australie, j’ai commencé à confectionner des maillots de bain, un vêtement qui réunit mes deux passions: les sports nautiques et le voyage», explique Julie Morin-Dumais.

Celle qui créait des tenues de baignade par pur plaisir pour elle-même et ses amies s’est fait prendre à son propre jeu. Le mot s’est passé et, rapidement, une quinzaine de détaillants réclamaient ses créations ensoleillées (aujourd’hui, la marque est offerte dans plus de 75 points de vente!). La popularité de June, elle la doit à ses modèles simples, féminins et sexy, dont les imprimés exclusifs sont dessinés à la main par l’équipe. «On essaie d’allier le minimalisme des coupes aux tendances du moment en utilisant des matières de qualité importées d’Espagne et d’Italie», mentionne Julie.

«Je suis une sportive coquette. C’est pourquoi mes maillots doivent être à la fois jolis et conçus pour l’action», affirme l’entrepreneure. Elle n’hésite pas, par exemple, à ajouter des bandes adhésives à l’intérieur du soutien-gorge, à munir les hauts de bretelles ajustables et les culottes, de cordelettes de serrage pour que le maillot tienne bien en place une fois dans l’eau. Son laboratoire de design est d’ailleurs alimenté par des ambassadrices actives qui mettent ses bikinis et une-pièces à l’épreuve partout sur la planète. «Des surfeuses, des athlètes et des globetrotteuses me livrent leurs impressions afin que je puisse constamment améliorer mon produit», dit-elle.

Bon à savoir

L’entreprise a l’environnement à cœur et s’applique à réduire son empreinte écologique. Ça passe notamment par la fabrication des maillots ici même, au Québec. «Ça me permet de réduire les distances de transport, tout en contrôlant assidûment la qualité de ma production», souligne Julie, qui utilise aussi des matières recyclées. «On fabrique plusieurs pièces de la collection avec des matières dont les fibres proviennent de bouteilles d’eau récupérées. On identifie ces modèles avec le logo “éco” pour que les consommatrices puissent les repérer facilement.»

Le modèle qui cartonne

La culotte taille haute mi-fesses (cheeky) est le meilleur vendeur depuis plus d’un an. Très flatteuse et un brin rétro, elle rehausse les attributs sans trop les dévoiler. Le haut Roberta est lui aussi un chouchou des consommatrices, puisqu’il convient à divers types de poitrines (tailles de bonnets jusqu’à 34D) et qu’il s’ajuste facilement, grâce aux coussinets optionnels et à son mignon nœud devant.

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