Comment étais-tu comme enfant?
LUDOVICK: «J’étais un petit gars à sa maman, et je crois que je le suis encore aujourd’hui. [rires] J’ai grandi avec ma mère. C’est elle qui m’a élevé, dès l’âge de 8 ans, quand mes parents se sont séparés. Ce n’était pas une mère super sévère. Elle me laissait fixer mes propres limites. Je suis aussi devenu l’homme de la maison assez rapidement. Je disais tout le temps oui pour l’aider, parce que ça me faisait plaisir et que j’en étais fier… Je pouvais même m’asseoir au bout de la table! (rires) Sans blague, j’ai eu une enfance très heureuse.»
Comment te sens-tu en participant à cette séance photo avec ta mère?
LUDOVICK: «Je suis très content qu’elle ait accepté de faire ça avec moi. On me parle souvent de mon père, du fait qu’il m’a pavé la voie, mais s’il y a une personne qui a tout mis en œuvre pour que je fasse ce métier dans la vie, c’est bien ma mère! Ça montre une autre facette de mon existence qu’on connaît moins.»
Je suis passée de la maudite méchante – qui avait volé le beau Patrick à toutes les filles du Québec – à la merveilleuse maman qui a fait cet enfant-là. J’ai vraiment changé de statut!» (rires) – Josée
SES ACTUS
Ludovick est en période de création de son prochain album avec son fidèle complice, Fred St-Gelais.
Photo: Pierre Manning (Shoot Studio)
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