«Tout ce que possède une personne devrait pouvoir tenir dans un ou deux sacs de voyage: une garde-robe bien pensée, un vanity-case, un album de vos photos préférées, deux ou trois objets personnels», écrit Dominique Loreau dans L’art de la simplicité.
Hum. C’est un noble but à atteindre. Ce n’est pas encore le mien. Moi, je veux que ce que je possède tienne dans un 3 ½. Beaucoup plus modeste comme ambition, me direz-vous, mais pour le moment, ça m’apparaît tout de même comme une montagne. Une grosse, grosse montagne. Ça, c’est dans mes mauvais jours. Dans mes bons jours, je perçois davantage ça comme un exercice formateur qui va m’apprendre plein de choses sur moi.
Je n’ai pris aucun engagement cette année. Ni cours, ni atelier, ni retraite de yoga, ni abonnement au théâtre, rien. Je sens profondément qu’avant de m’investir dans une quelconque activité, je dois vaincre le désordre qui règne chez moi. Une bonne fois pour toutes. C’est pourquoi, même si ce processus s’amorce en février, je compte en fait m’y consacrer une bonne partie l’année, à temps partiel. Un tiroir à la fois, une armoire à la fois.
Je me console en me répétant que je ne suis pas la seule dans cette situation. «Signe que la plupart des gens trouvent ingérable la multiplication de leurs biens domestiques? Aux États-Unis, le nombre des garde-meubles a pratiquement doublé en 10 ans», écrit Gretchen Rubin dans Opération Bonheur. «D’après un rapport, l’élimination du fatras réduirait les tâches ménagères de 40 %», ajoute-t-elle. Telle est ma quête!
On a souvent un agenda surchargé, on s’agite dans tous les sens, on achète des choses dont on n’a pas besoin, on conserve un emploi qui ne nous convient plus, on entretient des relations qui ne nous apportent plus rien. Aurait-on peur du vide?
La ménopause est un passage obligé pour les femmes. Certaines remportent un jackpot de désagréments à la loterie, tandis que d’autres traversent cette période sans bouleversements extrêmes. J’en suis.
«À quoi bon faire des résolutions, donc, si c’est pour se planter puis déprimer parce qu’on s’est planté?», se demandait jusqu'à cette année notre rédactrice en chef Joanie Pietracupa.
Dans une société où chacun doit affronter tellement de changements, aller vers les autres et leur faire confiance semble de plus en plus difficile. Pourtant, on a beaucoup à gagner en élargissant notre cercle social!
À l'aube de Noël, vous sentez-vous aussi épuisé que notre rédactrice en chef Joanie Pietracupa? Réflexion sur ce «joyeux» temps des Fêtes.
Chaque année, une tendance se dessine. Avec l’arrivée des froids de l’automne, on remarque une hausse des demandes d’aide psychologique. Ce phénomène porte un nom : la dépression saisonnière.
Pour souligner ses 20 ans, la Fondation Dr Clown distribuera gratuitement un costume d’Halloween à quiconque souhaite faire un don grâce au tout premier nez connecté! C’est l’occasion parfaite pour encourager cette formidable cause!
À lire : le témoignage de notre collaboratrice qui a vécu un enfer dans son dernier emploi... Bonjour climat toxique, harcèlement et surproductivité.
En couple avec une Maman2, M. Geoffrion jongle entre la garde partagée des ainés et le congé de maternité du p’tit dernier. Elle nous partage les histoires et les questionnements du quotidien de sa famille homoparentale.
Selon Simon Boulerice, pour être proprement nous-même, mieux vaut couper les étiquettes qu’on s’impose.
Notre vie semble géniale. Bon boulot, enfants brillants, famille unie, grande maison... mais voilà, on n’est pas heureuse. Réflexions sur la notion de bonheur.
Dans ce billet, Kim Lévesque Lizotte s'exprime sur l’invalidation de Roe v. Wade, la décision de 1973 qui appuyait le droit constitutionnel à l'avortement aux États-Unis.
