En amitié, la compétition est-elle inévitable ?
Toute amitié durable repose sur des bases solides : la confiance, l’estime, l’échange, le partage... Mais lorsqu’un ou plusieurs de ces piliers se fissurent, la relation se dégrade.
Assainir mon rapport à l’argent
• Regarder la situation en face (et ne pas m’enfouir la tête sous la couette)
• Pleurer un bon coup… et élaborer un plan de redressement
• Faire des choix (déchirants) et m’y tenir
• Budgéter, budgéter, budgéter
Ce mois-ci, ma résolution est de m’attaquer à mes finances. Attention, ça va faire mal! J’ai toujours eu une relation compliquée avec l’argent, mais là, je veux assainir cette relation une bonne fois pour toutes.
«Je. Ne. Suis. Pas. Une. Acheteuse. Compulsive.» ai-je déjà écrit. Sans doute était-ce dans un jour de déni. Ça m’arrive.
En fait, je pourrais dire que, maintenant, je ne suis plus une acheteuse compulsive. Bon, d’accord, presque plus. Mais je l’ai déjà été. Oh que oui! Vous savez que je suis plutôt du genre intense. Le domaine du magasinage n’a pas échappé à cette, hum, intensité.
La moitié d’une des tablettes de ma bibliothèque est d’ailleurs consacrée à des livres sur ce sujet. Que j’ai lus deux fois chacun. Je pense entre autres à J’achète (trop) et j’aime ça!, Cendrillon et l’argent, Votre vie ou votre argent?, etc. Ces livres datent tous d’une dizaine d’années. Comme on le voit, il ne s’agit pas d’un problème nouveau pour moi…
Ça m’a pris du temps à accepter le fait que mon rapport avec l’argent était problématique. Je me disais que je ne dépensais pas tant que ça. Après tout, je n’ai pas de maison, pas de voiture, pas de frigo ni de cuisinière chromés pas plus que d’ensemble laveuse-sécheuse dernier cri. Je ne suis jamais allée dans le sud l’hiver (ni même l’été), je ne fréquente pas les restos. Bref, je ne trouvais pas que je dépensais mon argent de façon extravagante.