Loto-Méno épilogue : On en parle encore un an plus tard!

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25 Mai 2022 par Équipe VÉRO
Catégories : MSN / Santé / Véro-Article
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Dans «Loto-Méno épilogue», Véronique Cloutier aborde les impacts que la série a eus sur l'hormonothérapie au Québec.

Il y a un an, Véronique Cloutier présentait la série-documentaire Loto-Méno consacrée au sujet tabou de la périménopause. En l’abordant aussi personnellement et ouvertement elle ne savait pas qu’elle avait créé un véritable tsunami social et médiatique. Elle le constate un an plus tard, dans Loto-Méno épilogue.

Loto-Méno, c’est un #MeToo des hormones. Il y a un avant et un après. - Madeleine Roy, journaliste de l’émission Enquête

 

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Plusieurs se sont reconnues en visionnant la série. Véro en parle dans l’épilogue – des milliers de femmes l’ont contactée. Nous aussi, au magazine VÉRO, on est en mesure de l’affirmer. Nous vous avons lues sur nos réseaux sociaux et en commentaires sur notre site web. Dans l’épilogue, vous verrez Véro en discuter avec son amie la comédienne Hélène Bourgeois Leclerc.

Bientôt 300 000 signatures

Dans la foulée de la série, la pétition pour l’accès à une hormonothérapie bio-identique atteindra bientôt les 300 000 signatures. La Dre Sylvie Demers évoquera l’impact considérable qu’a eu la série sur cette cause.

À ne pas manquer dans Loto-Méno épilogue :

Dans cet épisode de 45 minutes, Véro ira à la rencontre des professionnels de la santé qui doivent prendre des mesures pour répondre à une demande exponentielle concernant la prise d’hormones bio-identiques. Elle y rencontrera aussi une gynécologue plus critique qui prévient que cette approche n’est pas une panacée à tous les symptômes. Enfin, elle ira à la rencontre du ministre de la Santé du Québec, Christian Dubé, pour réclamer des solutions concrètes, rapides et gratuites en matière d’hormonothérapie bio-identique. Un échange qui la laissera bouche bée.

Loto-Méno épilogue est disponible en ligne dans la section VÉRO.TV d’ICI TOU.TV EXTRA.

 

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  1. Marie-France Blais dit :

    D’abord un grand MERCI à Véronique pour Loto-Méno!
    J’ai 64 ans et je demeure à Québec. À 35 ans, après ma 3ième grossesse, j’ai commencé à avoir une panoplie de symptômes tellement importants que j’ai du arrêter de travailler. Je passais entre 16 et 18 heures dans mon lit. Pendant les 5 années qui ont suivi, j’ai cherché de l’aide auprès de différents spécialistes, mais sans succès. On me disais dépressive, mais je n’y croyais pas et j’ai continuer à chercher. Finalement, en 2000, une amie m’a amené voir une conférence du Docteure Marie-Andrée Champagne. J’ai sollicité un rendez-vous et elle a accepté de me rencontrer à son cabinet à Joliette. Après avoir analysé toutes mes données médicales, elle m’a prescrit un traitement d’hormonothérapie : estrogène, progestérone et testostérone. En me prescrivant ce traitement, elle m’a rendue une grande partie de ma vie et réglé 80% de mes symptômes. En plus de la péri-ménopause, j’avais une carence en testostérone (une andropause). Moi aussi j’ai gagné à la Loto-Méno bonifiée de la loto-Andro!
    Je continue mon traitement d’hormonothérapie bio identiques aussi longtemps que nécessaire. À noter que la RAMQ a toujours couvert ma testostérone (androgel), mais pas mes hormones féminines, plutôt surprenant!
    Depuis 6 ans, je consulte le Docteur Jean Drouin à Québec qui a poursuivi le traitement du Docteure Champagne, une femme merveilleuse, généreuse et compréhensive. J’ai été chanceuse de l’avoir rencontré à une époque ou l’hormonothérapie était très controversée. Merci, merci, merci Docteure Champagne!

  2. yvette de l'Isle dit :

    Je suis née le 07 du 07 1937.
    J’ai eu une hystérectomie en 1977, à 40 ans et je prends Prémarin depuis quotidiennement.
    Il y a plus de 10 ans, sur le conseil de ma docteure j’ai cessé pendant 2 semaines et je me sentais tellement déprimée que j’ai recommencé et elle n’a jamais réussi à me convaincre d’arrêter.
    Je suis privilégiée : à 85 ans bientôt, je ne souffre d’aucune maladie—je me touche la tête( le bois) en le disant–ne prends aucun médicament et je travaile toujours à temps plein–minimum 4 heures par jour de six à 7 jours semaine.; ce qui explique que je n’aie pas entendu parler de votre croisade avant. Autrement je vous aurais envoyé ce courriel dès le début de votre intervention.
    Jai plusieurs amies qui n’ont pas voulu en prendre craignant les effets négatifs;Aujourd’hui elles prennent divers médicaments et n’ont certainement pas la forme ni l’énergie que j’ai.
    Y a-t’il un effet direct ? Je ne suis pas médecin mais je le crois.
    Je suis de toute évidence une privilégiée!

  3. Brigitte dit :

    J’ai adoré cette série informative, mais je suis ménopausée depuis 14 ans et j’aurais aimé savoir s’il est trop tard pour les femmes dans ma situation ou s’il y a des risques pour la santé de débuter tardivement.

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