On évite de…
manger sur le pouce, seule dans notre coin ou à notre bureau.
On choisit…
de préparer les repas et de manger (une foule d’aliments colorés et variés, bien sûr) avec notre famille ou nos amis. Pour nous inspirer, la nutritionniste Nathalie Jobin suggère de jeter un coup d’œil sur le guide alimentaire brésilien, le premier qui recommande de cuisiner davantage, de consommer moins d’aliments transformés, ce qui aide à réduire l’apport en sucre et en sel (et possiblement en gras), et de le faire en compagnie des nôtres, autour d’une table et non devant la télé ou chacun de son côté avec sa tablette.
On évite de…
miser sur des aliments ou des régimes soi-disant miraculeux.
On choisit…
d’adopter le régime méditerranéen (eh oui, encore lui!). «Non seulement ses bienfaits pour les maladies cardiovasculaires ont été démontrés, mais on établit de plus en plus de liens avec d’autres maladies comme l’alhzeimer, le diabète et l’obésité», rapporte la nutritionniste Nathalie Jobin.
Au menu :
beaucoup de fruits et légumes, des produits céréaliers à grains entiers, du poisson, des légumineuses et des noix, tous consommés sur une base quotidienne. Les produits laitiers, sous forme de fromage ou de yogourt, font aussi partie du menu, mais pas forcément tous les jours. Quant à la viande, on la sert une ou deux fois par semaine, en guise d’accompagnement. Pour le dessert, pas de sucre, seulement des fruits. «En adoptant ce régime petit à petit d’abord, puis en persévérant, on en profite, assure Mme Jobin. Des études ont en effet prouvé que plus on y adhère, plus ses effets sont importants.»
Photo: Stocksy
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