Trop tard pour des broches?

14 Mai 2019 par Julie Roy
Catégories : Santé
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Quand on était jeune, on n’enviait pas ceux et celles qui devaient porter un appareil orthodontique, mais aujourd’hui, les technologies dentaires sont si avancées qu’on se demande si on ne tenterait pas le coup. Et pourquoi pas?

PRÉSENTÉ PAR 

Dentiste au Groupe dentaire API, le Dr Jacques Léonard s’intéresse depuis toujours à l’orthodontie. «Depuis quelques années, on s’aperçoit que de plus en plus d’adultes y ont recours, dit-il. Et c’est une excellente nouvelle, car il existe de nouvelles techniques qui donnent de bons résultats tout en étant discrètes.»

À ce propos, le Dr Léonard mentionne l’existence de boîtiers autoligaturants qui ne nécessitent pas d’élastiques, mais qui exigent néanmoins un petit fil métallique pour exercer une traction sur les dents. Cela dit, ce qui retient davantage l’attention de la clientèle adulte, d’après lui, ce sont les coquilles évolutives: «Il s’agit d’une série de moulages qui recréent la position finale des dents. Selon les cas, il faudra changer de coquilles toutes les deux ou trois semaines.» Comme on peut les enlever pour manger – et pour sortir! – les adultes semblent préférer cette option aux traitements plus traditionnels.

Lors d’un rendez-vous en orthodontie, on analyse toutes les parties de la bouche: les mâchoires, les muscles et les dents. Cela permet au dentiste de mieux comprendre comment les dents ont pu se désaligner et comment il sera possible de corriger le tir. Le dentiste pourra alors nous proposer les traitements les plus appropriés à notre condition. Certains logiciels permettent d’ailleurs de visualiser le sourire qu’on affichera une fois les traitements terminés. Trop beau pour être vrai? «Il faut être prudent avec ce type de technologie, prévient le Dr Léonard. Il s’agit d’une projection et celle-ci n’offre aucune garantie.»

Pendant notre consultation avec le dentiste, on doit s’assurer de bien comprendre le type de traitement proposé et ce qu’il va régler. On vérifie aussi la durée estimée du traitement complet. «Avant de s’engager, on n’hésite pas à rencontrer deux dentistes pour savoir avec lequel on se sent le plus en confiance, suggère le Dr Léonard. Et comme on devra le rencontrer de 6 à 12 fois durant l’année, mieux vaut choisir un dentiste dont les bureaux sont situés sur la route entre la maison et le travail.» Alors, prête pour la conciliation boulot-dentiste-famille?

Envie de conseils sur les broches?

Peu importe le traitement dont vous avez besoin, les dentistes du Groupe dentaire API sont là pour vous aider à retrouver le goût de sourire. Que ce soit à leur clinique de Laval ou à celle de Mascouche, qui disposent d’équipements à la fine pointe de la technologie, une équipe humaine et attentionnée nous attend. On est ici entre bonnes mains, car tous les traitements prescrits peuvent être réalisés au même endroit!

Pour s’informer ou prendre rendez-vous, on consulte le site apigroupe.com



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